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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
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Médecin, Universitaire
Directeur de l'Institut Musulman de la Mosquée de Paris
Né le 2 Novembre 1940 à Skikda - Algérie.
Fils de Si Hamza Boubakeur, Ancien Recteur de la Mosquée de Paris.
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La lutte anticancéreuse en Algérie débuta sous l’occupation française. C’est en 1928 qu’intervient la création de principe du centre anticancéreux d’Alger, suivant de peu la réalisation des centres de Bordeaux, Paris et Lyon en 1923 ; De Montpellier, Strasbourg, Lille Rennes, Reims, Caen et Toulouse en 1924 ; de Marseille et Angers en 1925 ; et de Nancy en 1927. Le centre anticancéreux d’Alger était installé par le professeur Constantini dans les locaux de la clinique A de l’hôpital Mustapha. Ce centre, s’il avait le mérite de constituer le premier maillon dans la chaîne de la lutte anticancéreuse en Algérie ne pouvait prétendre à assumer ni le dépistage, ni le traitement de tous les cancers observés. Néanmoins le départ était ainsi donné et une consultation anticancéreuse fut instituée par les docteurs Laffont, Ferrari, Viallet et Duboucher.
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Juin 2015
T.S. Hong et al., ASCO 2015, Abs 4020
Proposé par L. Abid
La protonthérapie hypofractionnée permet un taux de contrôle local élevé dans les cholangiocarcinomes intrahépatiques dans une étude de phase II
Cholangiocarcinomes intra-hépatiques Protonthérapie
Les nouvelles techniques d’irradiation, telles que la protonthérapie, permettent désormais de délivrer des doses curatives au niveau hépatique. Un taux de contrôle local élevé a été rapporté avec cette technique dans les CHC. Les auteurs rapportent ici les résultats de la protonthérapie hépatique chez 39 patients avec cholangiocarcinome intrahépatique non résécable inclus dans une étude de phase II multicentrique. Une cirrhose Child A ou l’absence de cirrhose était observée chez 90%. La taille tumorale médiane était de 5,8 cm (1,2 ou 3 lésions dans 85%, 10% et 5%). Quatre patients ont présenté une toxicité de grade 3 liée à la radiothérapie (hyperbilirubinémie, ulcère gastrique, insuffisance hépatique et ascite).
Cholangiocarcinomes intra-hépatiques Protonthérapie
Les résultats sont très encourageants, à la fois en termes de taux de contrôle local et de survie à 2 ans. C’est la raison pour laquelle une étude de phase III est désormais en cours pour évaluer l’intérêt d’une chimiothérapie par gemcitabine/cisplatine associée ou non à une irradiation intrahépatique selon cette technique.
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