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Odonto-Stomatologie tropicale - 1ère revue dentaire internationale panafricaine - Plus d'informations

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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


BENALLEGUE Aldjia

Professeur Aldjia BenallègueLe professeur Aldjia Noureddine est née le 28 mai 1919 à Médéa où son père exerçait en qualité d’instituteur à l’école indigène de la ville. Sa mère (née Yaker) fut l’une des toutes premières indigènes à suivre une scolarité primaire en 1906. En 1924 lorsqu’on inscrivit son frère aîné à l’école indigène de la ville, elle put s’inscrire à l’école ouvroir réservée aux filles indigènes à qui l’on apprenait à lire et à écrire et surtout les activités domestiques telles que couture, broderie, tissage etc.

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Naissance de la médecine algérienne

L'école dentaire d'Alger : 50 ans, réalités et perspectives

C'est en 1950 que fut crée l'Institut d'Odonto-Stomatologie par l'arrêté du 27 juillet 1950. Depuis cette date et jusqu'à l'indépendance, l'enseignement était réalisé par des chirurgiens dentistes à mi-temps et des prothésistes. Les matières fondamentales et médicales étant enseignées par la faculté de médecine. Cet institut formait des chirurgiens dentistes à orientation vers le secteur privé.

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Editorial


La chirurgie du cancer, un potentiel qui n’est pas pleinement exploité

Proposé par Larbi Abid - Algérie - Mars 2018

Dr Fabien Reyal (Chirurgien)

Dans un contexte d’explosion des coûts des médicaments innovants, le docteur Fabien Reyal plaide pour une meilleure intégration de la chirurgie dans le parcours de soins des malades. Le désir intense de voir apparaître de nouvelles molécules pour guérir les patients atteints de cancer aboutit à une situation dangereuse où les citoyens, les médias et les autorités de santé oublient que la chirurgie est un élément central de la prise en charge des cancers. Nous devons reconsidérer notre stratégie. L’accès aux thérapies innovantes ne peut pas être la seule voie d’amélioration. Le développement d’une molécule se chiffre en milliards d’euros. L’inefficacité de ces traitements lors de leur utilisation en vie réelle est fréquente. Le coût du traitement d’un unique patient peut atteindre des sommes insoutenables pour un pays.

Trois leviers majeurs sont à revaloriser : la prévention, le diagnostic précoce et le parcours de soin. Grâce à la prévention (tabac, obésité, alcool et virus), nous pouvons réduire considérablement le nombre de cancers et la mortalité globale.

Le diagnostic précoce permet un contrôle aisé de la maladie. Les tumeurs de petite taille ont un meilleur pronostic. Leur traitement est simple, moins coûteux, avec moins de séquelles. Ainsi un cancer du sein de moins de 10 mm sera le plus souvent traité par une chirurgie avec une radiothérapie mais sans chimiothérapie (Jusqu’à ce jour, en Algérie, on est encore au lancement de campagnes de dépistage du cancer du sein dans des zones pilotes à la 4ème année de mise en place du Plan Cancer 2015/2019. Pourtant des campagnes de dépistage ont déjà été réalisées, en particulier dans la wilaya de Biskra, et devaient aboutir à des concluions qu’on attend toujours ?).

Le troisième élément est l’accès à un parcours de soins de qualité. La chirurgie y joue un rôle central car la performance de celle-ci est dépendante de l’opérateur et de son environnement. Une chirurgie mal exécutée ou exécutée à mauvais escient peut avoir des conséquences dramatiques sur le devenir d’un patient. (Toujours en Algérie, on préfère constater que plus de 50% des actes de chirurgie cancérologique seraient réalisés en pratique libérale, sans évaluer justement la qualité des actes, se dédouanant ainsi de tout investissement en chirurgie cancérologique).

De multiples études, dès les années 1990, ont démontré qu’une chirurgie effectuée dans un centre spécialisé par un chirurgien expert est associée à un pronostic meilleur. On ne peut rattraper une chirurgie approximative. Ainsi pour le cancer de l’ovaire, le fait de ne pas réaliser une chirurgie complète et de laisser de la maladie résiduelle altère fortement le pronostic.

N.B. : Les remarques en italique concernant l’Algérie, sont du Pr. Larbi ABID.

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