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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Le docteur Ahmed AROUA est né le 11 mai 1926 à M'doukal, Hodna (wilaya de Batna). Il doit sa formation arabe et islamique essentiellement à son père Mohamed Esseddik, lui-même formé à l'université islamique Zitouna de Tunis. Il fit ses études de médecine à la faculté de Montpellier où il soutint sa thèse de doctorat en médecine en octobre 1955.
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Pendant longtemps, le paludisme a considérablement pesé de tout son poids sur la vie des hommes de ce pays quelque soit leur race ou leur origine ainsi que sur le développement de vastes territoires. L’histoire du paludisme en Algérie révèle de nombreux enseignements sur les hommes, leurs us et coutumes et sur la relation entre eux et cette maladie.
Le Professeur Belgacem Ait Ouyahia est né le 10 octobre 1928 à Ain El Hammam (wilaya de Tizi Ouzou) où son père était instituteur. Après des études primaires dans sa région natale, il se rend à Alger pour effectuer ses études secondaires où il obtint son bac en 1948.
Il s’inscrit par la suite à la faculté de médecine d’Alger et effectue son premier stage d’interne en 1953/1954, au service de chirurgie de l’hôpital d’Orléansville (actuellement Chlef). Ce séjour dans cette ville le marquera au point où après se retraite en 1990, il lui consacrera un roman (les blés d’or du Chélif). Il effectuera également un remplacement dans la ville de Fort National (Larbaa Nath Irathen) où il fera la connaissance de Mouloud Feraoun.
Il soutiendra sa thèse de doctorat en médecine à Paris en 1955 puis reviendra à Alger où il ouvre un cabinet médical à Climat de France (Bab El Oued). Nous sommes alors en pleine guerre de libération, comme ses autres confrères algériens, il soignera les moudjahidines et particulier les blessés victimes de l’OAS lors de l’été 1962.
A la demande du FLN, et après le départ massif du corps médical français des hôpitaux algériens, il rejoindra l’hôpital Mustapha à la maternité où il entamera une spécialité en gynéco-obstétrique. Il est un des lauréats du premier concours d’agrégation organisé en Algérie en 1967. En 1971, il prendra la chefferie de service de la maternité de l’hôpital Mustapha où il formera des générations de gynécologues-obstétriciens (dont plusieurs des actuels professeurs de gynécologie) avec ses autres collègues Nefissa Hamoud (Pr. Laliam), Janine Belkhodja et Mimi Moatti.
Il prend sa retraite en 1990 et se consacrera alors à l’écriture, devenant un romancier très apprécié. Parmi ses ouvrage, on peut citer : Pierres et lumières : souvenirs d’un médecin algérien fils d’instituteur d’origine indigène ou encore les blés d’or du Chélif.
Il vient de nous quitter en ce mois de janvier 2012. Que Dieu l’accueille dans son vaste paradis.
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