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Odonto-Stomatologie tropicale - 1ère revue dentaire internationale panafricaine - Plus d'informations

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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


COSTANTINI Henri (1884-1951)

Henri CostantiniInterne à Alger en 1906, 6 ans avant le professeur Henri Duboucher, 2 ans après le Professeur Lombard, il est Prosecteur d'anatomie du rigoureux Professeur Trolard. Il part à Paris, élève de Lecène et d'Edouard Quénu, et revient Professeur à Alger en 1920, succédant à son maître Eugène Vincent en 1924, qui dirigeait les salles Lisfranc et Larrey. Il a alors 40 ans.

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Naissance de la médecine algérienne

Histoire de la neurochirurgie algérienne

Tous les secteurs de la vie économique, sociale, culturelle sont affectés. Le secteur de la santé ne fait pas exception. Médecins, professeurs d’Universités, personnels paramédicaux en majorité français quittent le pays. Les structures hospitalières publiques ou privées, la faculté de médecine, sont complètement désorganisés. De plus, nombreux bâtiments de soins ont été détruits par l’OAS* parfois avec la complicité de médecins. C’est le cas du service de neurochirurgie, installé à la «clinique Barbier Hugo». Le neurochirurgien et son équipe quittent les lieux après démolition par plastiquage des blocs opératoires. Il ne reste que quelques lits qui seront transportés à l’hôpital Ali Ait Idir : ils équiperont et pour longtemps le service de réanimation du nouveau service de neurochirurgie.

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Histoire de l'Algérie médicale : les hommes et les femmes


BENBADIS Lakhdar AbdeslamEnvoyer cette page par e-mail Ajouter cette page à mes favoris

Par S. Arslan

Docteur Benbadis Lakhdar AbdeslamPour la majorité des algériens et même des constantinois le CHU de Constantine porte le nom de l’imam Abdelhamid BENBADIS alors qu’il s’agit en fait de son neveu Lakhdar Abdeslam BENBADIS né le 27 janvier 1923 à Constantine. Après des études primaires en langue française, il est inscrit au lycée d’Aumale (actuellement Réda Houhou) où il obtient son bac en 1941.

Il s’inscrit alors à la faculté de médecine d’Alger en 1942, avant de poursuivre son cursus, à partir de 1945 à la faculté de médecine à Paris jusqu’en 1950. Il entamera par la suite une spécialité en ophtalmologie d’abord à Paris à l’hôpital des Quinze-Vingt jusqu’en 1950 avant de rejoindre l’hôpital Charles Nicolle de Tunis dans le service du Dr. Rais, jusqu’en 1952. Il soutient sa thèse de doctorat en médecine à Paris en 1954 et revient à Constantine où il ouvre, pendant un temps, un cabinet médical au n°29 de la rue Georges Clemenceau (actuellement Larbi Ben M’hidi). Militant convaincu, il fut membre de l’association des étudiants musulmans algériens. Il se liera d’amitié avec plusieurs autres étudiants en médecine venus d’Algérie dont le docteur Messaoud Bendib qui sera le premier professeur de radiologie de l’Algérie indépendante.

Arrêté et interné en 1957, alors qu’il prenait part à la grève des six jours, il sera transféré vers le centre d’internement d’El Ghirane de Hamma Bouziane, à une dizaine de kilomètres au nord de Constantine, puis vers celui de Bir El Ogla aux environs de Ain Mlila et enfin au centre d’internement d’El Djorf.

Lors d’une sortie à M’sila pour alimenter le centre en médicaments, il réussit à s’évader et rejoint le maquis. Depuis cette date plus aucune nouvelle de lui jusqu’au jour où sa famille apprend sa mort au maquis par le biais de l’un de ses amis tunisiens qui leur a envoyé une coupure d’un article paru dans la presse. Le docteur Lakhdar Abdeslam Benbadis a trouvé la mort au champ d’honneur, déchiqueté par une mine à l’âge de 37 ans. En visite dans un hôpital du maquis, à Tadjerouine sur la frontière tunisienne, Benbella lui rend hommage et baptise cet hôpital «Benbadis ».

Après l’indépendance de l’Algérie, le 13 mars plus exactement, sa famille reçoit une attestation de la 5ème région militaire mentionnant que le docteur Lakhdar Abdeslam BENBADIS qui a rejoint les rangs de l’ALN en 1959 est tombé au champ d’honneur en 1960.

Quelques années plus tard, le professeur Messaoud BENDIB intervient auprès du Ministère de la Santé afin que le CHU de Constantine porte le nom de ce Chahid.

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