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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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1er professeur de la Chaire Magistrale de Chirurgie Ophtalmologique d'Alger
Chirurgien et ophtalmologiste français Henri, Frederic, Edmond Bruch est né à Strasbourg, le 11 juillet 1835. Il obtient son baccalauréat série sciences le 9 avril 1854 avec la mention assez bien. Il s'inscrit à la faculté des sciences où il obtient le 20 juillet 1858 sa licence en sciences naturelles.
En 1855, il est préparateur en zoologie et anatomie comparée à la faculté des sciences de Strasbourg. La même année, il est externe sur concours à la clinique chirurgicale de Strasbourg dirigée par le professeur Sédillot.
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Avant d’évoquer les différents types d’activités assumés par le corps médical algérien pendant la guerre d’indépendance, nous devons faire quelques remarques préliminaires.
Quand nous parlons de corps médical, cette dénomination englobe médecins, pharmaciens, dentistes, étudiants en médecine et paramédicaux diplômés ou non, dont l’activité a été solidaire et inséparable...
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Horizons | Algérie | 30/09/2025 | Lire l'article original
Pr Rachid Malek, professeur en médecine interne, et président de l’association des diabétiques à Sétif, appelle à « encourager le dépistage régulier » du diabète.
L’Algérie a abrité, récemment, au Centre culturel de Djamaâ El Djazair, le congrès de la Fédération internationale du diabète (FID) pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Placé sous le patronage du ministre de la Santé et organisé par l’Association du diabète, représentant l’Algérie au sein de la Fédération internationale du diabète, en coordination avec la Société nationale d’obésité et des maladies métaboliques (SNOMM), ainsi que la Fondation nationale de lutte contre le diabète, l’événement avait réuni les délégations de plus de 30 pays.
Cette rencontre avait mis en lumière les avancées thérapeutiques, les bonnes pratiques de prise en charge et les recommandations internationales adaptées aux réalités sanitaires et socio-économiques de la région. De même qu’elle avait permis «un échange riche entre experts nationaux et internationaux, autour des enjeux cruciaux liés à la progression du diabète et à ses retombées économiques dans la région MENA et en Algérie». Lors de cette rencontre, nous avons rencontre le Pr Rachid Malek, professeur en médecine interne, président de l’Association des diabétiques de la wilaya de Sétif, qui a bien voulu répondre à nos différentes questions.
Alger a accueilli le congrès de la Fédération internationale du diabète. Que représente l’organisation d’un tel événement?
L’organisation d’un tel événement est le fruit d’un long travail et la reconnaissance de notre implication active au sein de la fédération. C’est une excellente occasion de mettre en lumière nos efforts pour améliorer la prise en charge du diabète, notamment dans les domaines de la prévention primaire et secondaire.
Quels sont les objectifs de cette rencontre?
Il s’agit d’échanger les expériences et une meilleure compréhension de la hausse vertigineuse du diabète et du prédiabète, véritable épidémie liée aux changements de mode de vie, à la malbouffe et à la sédentarité. Il existe des disparités dans les prises en charge entre pays, mais le partage de bonnes pratiques permet une remise en question et un ajustement tenant compte des besoins, des moyens, des réalités socioculturelles et des politiques de santé propres à chaque pays. Ce congrès est un véritable baromètre régional.
En Algérie, le diabète connaît une progression préoccupante. Quel constat émane des premières discussions et présentations?
La région MENA se classe parmi celles où la prévalence du diabète est la plus élevée. Les projections pour 2050 sont alarmantes : une augmentation de 92% du nombre de diabétiques. En Algérie, les données récentes de l’Atlas du diabète (2025) indiquent une prévalence de 17,4%, contre 14,4% relevés en 2016 par l’étude Step OMS. Ces chiffres témoignent de l’ampleur du phénomène.
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