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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Je connais Bekada Hadj Benmhel depuis bientôt cinquante ans ! En fait je le connaissais indirectement, son environnement et lui-même, avant de le voir et de l’apprécier pour lui-même, dès le début, dans les années soixante. Ayant une de mes sœurs et son mari dans l’enseignement à Annaba, j’entendais déjà parler avec beaucoup de respect de son frère ainé, cadre de l’éducation algérienne. Puis ce fut à la cité universitaire de Ben-Aknoun que l’on ma parlé de Mazouna, son lieu de naissance.
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Dans cette évocation il ne sera question que de la médecine algérienne post-coloniale, celle qui a vu le jour après les accords d’Evian du 18 mars 1962 qui ont vu l’Algérie accéder à son indépendance après une exemplaire guerre de libération nationale qui aura duré plus de sept ans. Au lendemain du « cessez-le-feu » proclamé le 19 mars 1962, nous assisterons à un exode massif des pieds-noirs. Le départ massif et rapide de la population européenne allait plonger l’Algérie dans une dramatique situation.
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Horizons | Algérie | 17/09/2025 | Lire l'article original
Souvent banalisée, l’hypoglycémie est un danger sous-estimé qui augmente fortement le risque d’accident cardiovasculaire chez les patients diabétiques.
Des recherches ont clairement établi un lien direct entre les épisodes d’hypoglycémie sévère et une hausse du taux de mortalité, toutes causes confondues. Le risque d’hypoglycémie devient élevé quand les variations de la glycémie à jeun sont importantes.
C’est ce que confirme le Pr Mohamed Samir Merad, endocrinologue-diabétologue à la clinique Larribère du CHU d’Oran. «Le diabète ne tue pas uniquement à cause d’un excès de sucre dans le sang. Il peut être aussi fatal quand le taux chute brutalement», met-il en garde.
Selon le Pr Merad, la Fédération internationale de diabète qui tous les 3 ans lance une alerte mondiale (la dernière en 2025) indique que le nombre de diabétiques dans le monde a atteint 500 millions. Avec un taux d’augmentation prévue de 45%, le chiffre grimpera à 800 millions à l’orée 2050. Dans la région MENA, à quelle l’Algérie appartient, il sera de 92%.
En 2024, précise-t-il, notre pays compte 4,7 millions de diabétiques pour 17,5% de prévalence, un malade sur 3 n’est pas diagnostiqué et d’ici à 2050, on aura 8 à 9 millions de personnes.
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