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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
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Robert Aubaniac est né le 23 février 1914 à Sidi Bel Abbès (Oranie) où il grandit et fait ses études secondaires. À 17 ans, le baccalauréat en poche il s’inscrit en médecine à Alger où ses parents le rejoignent l’année suivante, première transplantation, première migration.
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Si à l’'université, les étudiantes sont majoritaires dans les amphis, si la prédominance féminine à la faculté de médecine algérienne est manifeste depuis plus d’une vingtaine d’année , si le dernier bastion masculin (à savoir la chirurgie) vient également de tomber et si au XXIème siècle, la plupart des pays garantissent aux femmes un accès aux études médicales égal à celui des hommes, bien que tous n'assurent pas l'égalité des possibilités d'emploi, historiquement, cette place a souvent été restreinte dans de nombreux endroits du monde, alors même que le rôle des femmes en tant que soignantes est très important. Cette proportion élevée de femmes s’explique assez aisément car les bachelières reçues au baccalauréat scientifique se dirigent plus volontiers vers les sciences de la vie et de la nature (professions médicales et paramédicales).
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El Watan | Algérie | 16/04/2025 | Lire l'article original
Le diabète représente un véritable défi de santé publique en Algérie, tant par son ampleur que par les complications qu’il engendre.
Cette maladie chronique, multifactorielle et non transmissible affecte de plus en plus la population algérienne. Son évolution, ses causes et ses conséquences méritent une attention particulière, d’autant plus dans un pays vaste et démographiquement en croissance rapide. Tels sont les principaux constats faits hier, lors d’une journée d’information dédiée aux journalistes, organisée par les laboratoires Sanofi.
Depuis l’indépendance, l’Algérie a connu une transition épidémiologique majeure. La population est passée d’environ 10 millions à plus de 45 millions, avec une espérance de vie ayant presque doublé (de 47 ans en 1962 à 78 ans actuellement).
Ce vieillissement démographique s’accompagne d’un allongement de la durée de vie, ce qui a favorisé la prévalence de maladies chroniques, notamment le diabète.
Selon l’Atlas 2025 de la Fédération internationale du diabète (IDF), l’Algérie compte près de 4 millions de diabétiques connus, mais on estime qu’un adulte diabétique sur deux n’est pas diagnostiqué. Le chiffre réel avoisinerait donc les 8 à 10 millions, un volume préoccupant pour les capacités du système de santé national.
Selon le Pr Mimouni Zerguini Safia, du service d’endocrinologie et maladie métabolique (Centre Pierre et Marie Curie Alger), « la croissance rapide de l’urbanisation, l’adoption de modes de vie sédentaires et d’une alimentation riche en sucres et en graisses ont contribué à l’explosion des cas d’obésité, un des principaux facteurs de risque du diabète de type 2 ».
Selon sa présentation, «plus de 55% des Algériens sont en surpoids ou obèses, avec une proportion encore plus marquée chez les femmes (63% contre 48% chez les hommes) ».
A cela s’ajoutent « l’inactivité physique, le tabagisme et le manque de campagnes de sensibilisation efficaces ».
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