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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Djillali Belkhenchir est ne le 30 mars 1941 à Oued Rhiou (Relizane). Sa vie a été marquée par une volonté constante de faire coïncider son métier de médecin et sa conviction profonde que l'être humain est un tout dont il faut considérer chacun des aspects avec une égale et bienveillante attention.
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Tous les secteurs de la vie économique, sociale, culturelle sont affectés. Le secteur de la santé ne fait pas exception. Médecins, professeurs d’Universités, personnels paramédicaux en majorité français quittent le pays. Les structures hospitalières publiques ou privées, la faculté de médecine, sont complètement désorganisés. De plus, nombreux bâtiments de soins ont été détruits par l’OAS* parfois avec la complicité de médecins. C’est le cas du service de neurochirurgie, installé à la «clinique Barbier Hugo». Le neurochirurgien et son équipe quittent les lieux après démolition par plastiquage des blocs opératoires. Il ne reste que quelques lits qui seront transportés à l’hôpital Ali Ait Idir : ils équiperont et pour longtemps le service de réanimation du nouveau service de neurochirurgie.
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Radio Algérie | Algérie | 30/03/2025 | Lire l'article original
La maladie rénale chronique concerne 35 000 personnes en Algérie, avec une facture de prise en charge estimée à 800 millions d’euros. Selon le Pr Farid Haddoum, chef de service néphrologie au CHU Mustapha Pacha, l’Algérie doit tracer une nouvelle politique pour l’accompagnement des malades et de cette pathologie, et faire des économies, notamment, en rendant le dépistage obligatoire pour les populations vieillissantes et les personnes à risque.
Convié, ce dimanche, dans l’émission « L’invité du jour » de la Chaîne 3 de la Radio algérienne pour faire un état des lieux de la maladie rénale chronique en Algérie, le Pr Haddoum a indiqué que cette pathologie est de mieux en mieux connue. Concernant la néphrologie, de manière générale, l’intervenant s’est réjoui que cette spécialité se porte bien, car aujourd’hui, il n’y a pas de zone d’insécurité en Algérie étant donné qu’il y a, au moins, un centre de dialyse et une consultation en néphrologie dans les 58 wilayas.
Interrogé sur les moyens mis en place pour prévenir cette maladie, le Pr Haddoum a appelé les autorités publiques à contribuer plus activement à l’effort de dépistage des maladies rénales en rendant cette action obligatoire pour les populations vieillissantes et les personnes à risque, à l’image des diabétiques, des hypertendues et des obèses, et ce, en remboursant les bilans qui se font une fois par an. « Pour ces patients, le fait que ce soit remboursé et que les médecins soient amenés à leur demander de le faire une fois par an, peut favoriser ce dépistage », a-t-il considéré.
Pour le Chef de service néphrologie au CHU Mustapha Pacha, le dépistage précoce de cette maladie et sa prise en charge aux premiers stades de son évolution, c’est-à-dire, avant de recourir à l’hémodialyse, va permettre à l’Etat de faire des économies consistantes.
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