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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


BENMILOUD Khaled

Khaled BENMILOUD est décédé vendredi 25 juillet 2003. Il fut le premier psychiatre de l'Algérie indépendante, en 1962.La psychiatrie algérienne a hérité au lendemain de l'indépendance de 6000 lits à travers le pays et pas un seul médecin psychiatre. A cette époque, on voyait dans les hôpitaux psychiatriques, une sorte d'asile de fous furieux. Benmiloud a humanisé la discipline. Il a réussi à se défaire des trois pavillons Charcot, Pinel et Broussais tombant en ruine, de l'arrière ban de l'hôpital Mustapha et remonter l'allée jusqu'au bout pour refonder la clinique universitaire de psychiatrie d'Alger dans des locaux clairs, humainement viables, le pavillon Ibn Imrane.

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Naissance de la médecine algérienne

La médecine en Algérie pendant la période Ottomane (1516-1830)

Au cours de cette période qui s'étendit de 1516 (arrivée des frères Barberousse) jusqu'à 1830, trois médecines se sont côtoyées.
Chacune d'elle adaptée à la population à laquelle elle s'adressait : La médecine européenne réservée aux captifs en grande partie européen, était dispensée dans les hôpitaux qui furent érigés dans les bagnes...

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Revue de presse

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Algérie Bekkat Berkani, président de l'Ordre des médecins: « Il faut mettre fin au hold-up de notre élite »

Le quotidien d'Oran | Algérie | 24/04/2024 | Lire l'article original

La directive du président de la République prise lors du dernier Conseil des ministres de réviser le statut particulier de la Santé, «vise à conforter la situation économique et socioprofessionnelle des praticiens de la Santé», a indiqué, hier mardi, le président de l'Ordre des médecins praticiens, Mohamed Bekkat Berkani, précisant que « ces mesures participent à améliorer la qualité des soins et leur pérennité ».

S'exprimant sur les ondes de la Radio nationale, le Dr Berkani a estimé que la directive du chef de l'Etat qui précise le régime indemnitaire du personnel médical et paramédical du secteur public et la mise en œuvre des mesures pour la prise en charge des cancéreux, « va permettre de donner un nouveau départ et répondre à un besoin essentiel, longtemps revendiqué par les professionnels du secteur». « La pérennité des soins signifie inéluctablement la gratuité des prestations de service, celle-ci est un principe consacré par la République algérienne depuis l'indépendance », a encore souligné l'invité de la Radio. Et de rappeler que l'Algérie « est un État social qui a donné les soins qu'il fallait de façon gratuite ou par l'intermédiaire de la Sécurité sociale à tous les citoyens ».

Le Dr Berkani a également indiqué que « la gratuité des soins en Algérie était un acquis que les Autorités tiennent absolument à préserver ». En revanche, a argué le Dr Berkani, « il faudra non seulement assurer la continuité des soins de qualité pour les multiples pathologies émergentes, mais de guérir de ces maladies, comme le cancer, et s'en sortir avec cette qualité de soins apte à donner aux patients une qualité de vie qui soit appréciable ». Pour le président de l'Ordre des médecins praticiens, « si on n'atteint pas la guérison, on doit alors parler d'un accompagnement confortable dans la vie où le patient se sent suivi ou soulagé de sa maladie chronique », a-t-il argumenté. Il citera, entre autres, deux aspects majeurs pour lutter contre ces maladies, dites d'«usure» et qui ont tendance à inverser fatalement la courbe de l'espérance de vie en Algérie, à l'instar du diabète, de l'arthrose et de la fatigue cardiovasculaire. Par conséquent, a jugé le Dr Berkani, « il est impératif d'investir dans la prévention, suivie par des schémas thérapeutiques appliqués pour lutter contre ces pathologies », relevant que « ces maladies complexes n'ont pas de solutions radicales ».

La saignée se poursuit

Pour le président de l'Ordre des médecins algériens, « la responsabilité n'incombe pas au seul secteur de la Santé », notant que « la prise en charge de ces pathologies devra relever d'un plan multisectoriel en raison notamment du régime alimentaire, de l'hygiène de vie, de l'exercice physique et de certaines dispositions individuelles ou collectives pour se préserver de certaines affections sur le tard ».

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