Lire le document (PDF UNICEF)
Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
ALGER - Les effets indésirables des trois vaccins anti-Covid-19 utilisés en Algérie sont "minimes et pas dangereux", a assuré, mercredi à Alger, la directrice générale du Centre national de pharmacovigilance et des matériovigilance (CNPM), professeur Nadjat Loumi.
Intervenant lors d'une visioconférence organisée par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière avec le Comité de pilotage de la vaccination et les Centres de vaccination à l'échelle nationale, Pr Loumi a précisé que les trois vaccins utilisés en Algérie, à savoir Spoutnik V (russe), AstraZenaca (anglo-suédois) et Sinopharm (chinois), sont "passés sous la loupe" et que les notifications relatives aux effets indésirables parvenant au CNPM "ne sont pas dangereuses, mais plutôt bénignes et minimes".
Elle a ajouté que les effets indésirables de ces vaccins se manifestent par "des fièvres, des céphalées, des douleurs musculaires et des asthénies, alors que les pics hypertensifs qui sont signalés ne sont pas très élevés avec 14 pour maxima et 9 pour minima", qualifiant ces effets d'"anodins".
Précisant que le Centre de pharmacovigilance s’occupe des effets indésirables des médicaments et des manifestations post-vaccinales causés par les vaccins utilisés, elle a fait savoir qu'il y a eu "beaucoup plus de notifications pour Spoutnik V, qui est le premier vaccin utilisé en Algérie, soit depuis le 31 janvier 2021, alors qu'il y a "moins de notifications pour Astra Zenaca et encore moins pour Sinopharm dont l'utilisation est tardive comparativement au vaccin russe".
A cet effet, Pr Loumi a lancé un appel "aux vaccinateurs de déclarer tous les effets indésirables au Centre de pharmacovigilance car c’est grâce à ce procédé que nous pourrons disposer de l’incidence des manifestations des effets indésirables", ajoutant que le CNPM dispose d’une fiche de déclaration qui peut être utilisée sous forme papier ou la notifier sur le site web www.cnpm.org.dz.
En outre, elle indiqué que même la personne vaccinée a la possibilité de faire sa déclaration au CNPM par le biais du site web, sans passer par son médecin traitant.
De son côté, la représentante de la direction générale de la prévention du ministère de la Santé, Samia Hamadi, a lancé un appel à "la population à s’inscrire sur la plateforme électronique mise en place par le ministère dans le but de se faire vacciner et ce, en fonction de la disponibilité et de l’arrivage des vaccins", assurant qu'"à terme, toutes les personnes inscrites seront vaccinées".
Elle a également lancé un appel aux centres à mener des campagnes de sensibilisation à travers les chaînes de radios locales pour inciter la population à s’inscrire pour se faire vacciner et gagner la confiance du personnel de la santé.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Site éditeur :