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El Moudjahid | Algérie | 06/01/2008
70% des personnes contaminées développeront une hépatite chronique et seront susceptible d’infecter leurs proches. Le virus de l’hépatite C se transmet principalement par voie sanguine. Jusqu’aux années 90, il s’est propagé par les dons de sang, mais ce problème semble aujourd’hui réglé. En revanche, il faut être extrêmement vigilant sur certaines pratiques à haut risque telles que l’utilisation des seringues à usage multiples, mauvaise stérilisation de matériel d’endoscopie ou de chirurgie (soins dentaires, circoncision...), pratique de tatouage ou du piercing avec du matériel non jetable.
En Algérie, Pour optimiser la qualité de prise en charge des malades atteints d’hépatites virales dont le nombre dépasse les 320 000 pour l’hépatite C et environ un million pour d’hépatite B, la caisse nationale des assurés sociaux s’est engagée à rembourser le médicament des hépatites virales dont le traitement coûte plus de 144 millions de centimes par malade et ce par la mise en œuvre d’un système de contractualisation entre la CNAS et les hôpitaux. En plus du coût de traitement, les malades qui déboursent de leur poche près de 50.000 de dinars pour les frais des examens complémentaires et 50 000 autres pour des examens de suivi, peuvent à partir de ce mois rembourser les frais du traitement et des examens médicaux. Il convient de noter qu’un budget de 3 milliards de dinars a été alloué pour le dépistage et la prise en charges des hépatites.
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