Le Général Bendjelloul est revenu sur "les difficultés" rencontrées par le passé par de nombreux malades contraints de se déplacer de l’intérieur du pays vers la capitale sans y trouver de centres pouvant les accueillir, précisant que la plupart d’entre eux étaient issus de catégories à faible revenu. Malgré l’ouverture de plusieurs centres de dialyse à travers le territoire national, le calvaire des malades n’a pas cessé, a estimé le général Bendjelloul. Concernant les maladies du pancréas, très répandues en Algérie, le directeur central a précisé que "cette maladie tout comme l’insuffisance rénale est prise en charge par les services de réanimation".

Le général a, par ailleurs, souligné la nécessité de développer les différentes opérations de greffe et à prendre en charge les maladies cardiaques, précisant que te telles spécialités ne peuvent être développées que dans le cadre de la formation et du transfert de technologie. Le général a appelé également à développer "les hôpitaux de campagne qui sont plus proches des citoyens lors de catastrophes naturelles".