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L'expression dz | Algérie | 24/01/2024 | Lire l'article original
La salle de conférence de la bibliothèque principale où se déroulait, hier, la Journée nationale de néphrologie libérale était quasi pleine. La présidente de l'Association nationale des néphrologues libéraux algériens, le docteur Araar a estimé le nombre des présents à quelque 150 spécialistes en néphrologie et de médecins généralistes. L'objectif est, selon le mot de cette dernière, qui ouvrait cette journée d'étude sur cette terrible maladie, dont c'est la 5e édition, d'agir « en amont ».
En d'autres termes, agir en privilégiant la prévention et la protection néphrologique, ainsi que cela a été repris tout au long de ce colloque qui s'est articulé autour de 5 communications faites par des professeurs et six modérateurs. Ces derniers se relayant par équipes de trois, deux avant la pause et deux autres, après. Chaque intervention cible une thématique en relation avec la maladie que l'on cherche à combattre en évitant toutes les affections qui la favorisent et est marquée par un ou deux débats.
La première communication a été présentée par le professeur Atik du service de néphrologie, de dialyse et de transplantation rénale au CHU d'Annaba. Le thème par lequel débutait ce colloque sur la néphrologie est de ne rien laisser ignorer sur ce que le professeur a appelé l'économie de santé et sur la mise en place de la stratégie qui consiste en la prise en charge de l'Irct, c'est-à-dire le malade dont l'état nécessite une transplantation rénale ou une dialyse.
C'est le traitement lourd dont la prise en charge est onéreuse pour l'État, tant en achat de matériels et de médicaments coûteux que pour le malade rendu ainsi dépendant vis-à-vis de ces soins particuliers. Le deuxième thème, développé par le professeur Saïdani, chef de service du CHU de Béni Messous a porté sur le rein et le syndrome métabolique.
Il était question de montrer dans quelle mesure les troubles métaboliques peuvent affecter le bon fonctionnement du rein et conduire le sujet qui présente de telles anomalies à cet état de santé morbide.
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