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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Né le 5 septembre 1925 à Tlemcen, le professeur M. BENABADJI a obtenu le diplôme de docteur en médecine en 1952 à la faculté de médecine de Montpellier. En 1962 il fait son entré dans le secteur public où il est nommé le 8 novembre 1962 médecin-chef du Centre de Transfusion Sanguine (CTS) du CHU Mustapha d'Alger. Ce CTS fut érigé en janvier 1963 en Centre Algérien de Transfusion Sanguine.
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La néphrologie a contribué au progrès de la médecine en Algérie particulièrement dans les domaines de la médecine interne, la technologie, la formation, l'organisation sanitaire et la réflexion éthique (don d'organes). Les obstacles rencontrés pour faire reconnaître cette discipline comme spécialité médicale et universitaire ont été fort nombreux. La ténacité des néphrologues à partir de 1977 a porté ses fruits. Ainsi, l'enseignement de la néphrologie en Algérie a débuté en 1988. Le Comité Pédagogique Régional de Néphrologie a été constitué à Alger en 1988 et le Comité Pédagogique National en 1989.
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Juin 2015
T.S. Hong et al., ASCO 2015, Abs 4020
Proposé par L. Abid
La protonthérapie hypofractionnée permet un taux de contrôle local élevé dans les cholangiocarcinomes intrahépatiques dans une étude de phase II
Cholangiocarcinomes intra-hépatiques Protonthérapie
Les nouvelles techniques d’irradiation, telles que la protonthérapie, permettent désormais de délivrer des doses curatives au niveau hépatique. Un taux de contrôle local élevé a été rapporté avec cette technique dans les CHC. Les auteurs rapportent ici les résultats de la protonthérapie hépatique chez 39 patients avec cholangiocarcinome intrahépatique non résécable inclus dans une étude de phase II multicentrique. Une cirrhose Child A ou l’absence de cirrhose était observée chez 90%. La taille tumorale médiane était de 5,8 cm (1,2 ou 3 lésions dans 85%, 10% et 5%). Quatre patients ont présenté une toxicité de grade 3 liée à la radiothérapie (hyperbilirubinémie, ulcère gastrique, insuffisance hépatique et ascite).
Cholangiocarcinomes intra-hépatiques Protonthérapie
Les résultats sont très encourageants, à la fois en termes de taux de contrôle local et de survie à 2 ans. C’est la raison pour laquelle une étude de phase III est désormais en cours pour évaluer l’intérêt d’une chimiothérapie par gemcitabine/cisplatine associée ou non à une irradiation intrahépatique selon cette technique.
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