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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Le professeur Aldjia Noureddine est née le 28 mai 1919 à Médéa où son père exerçait en qualité d’instituteur à l’école indigène de la ville. Sa mère (née Yaker) fut l’une des toutes premières indigènes à suivre une scolarité primaire en 1906. En 1924 lorsqu’on inscrivit son frère aîné à l’école indigène de la ville, elle put s’inscrire à l’école ouvroir réservée aux filles indigènes à qui l’on apprenait à lire et à écrire et surtout les activités domestiques telles que couture, broderie, tissage etc.
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En 1940, les étudiants marocains et tunisiens qui allaient habituellement faire leurs études supérieures en France (médecine, pharmacie, lettres) viennent s'inscrire à l'université d'Alger, unique université alors pour tout le Maghreb dit "Afrique du Nord". Novembre 1942 : nommée au concours des hôpitaux d'Alger et, peu après, élue présidente de l'association des internes et anciens internes des hôpitaux d'Alger, la plupart de mes condisciples ayant été appelés sous les drapeaux, j'étais ainsi la première étudiante en médecine algérienne et premier élément algérien interne des hôpitaux...
Proposé par Larbi Abid - Algérie - Juin 2015
T.S. Hong et al., ASCO 2015, Abs 4020
Proposé par L. Abid
La protonthérapie hypofractionnée permet un taux de contrôle local élevé dans les cholangiocarcinomes intrahépatiques dans une étude de phase II
Cholangiocarcinomes intra-hépatiques Protonthérapie
Les nouvelles techniques d’irradiation, telles que la protonthérapie, permettent désormais de délivrer des doses curatives au niveau hépatique. Un taux de contrôle local élevé a été rapporté avec cette technique dans les CHC. Les auteurs rapportent ici les résultats de la protonthérapie hépatique chez 39 patients avec cholangiocarcinome intrahépatique non résécable inclus dans une étude de phase II multicentrique. Une cirrhose Child A ou l’absence de cirrhose était observée chez 90%. La taille tumorale médiane était de 5,8 cm (1,2 ou 3 lésions dans 85%, 10% et 5%). Quatre patients ont présenté une toxicité de grade 3 liée à la radiothérapie (hyperbilirubinémie, ulcère gastrique, insuffisance hépatique et ascite).
Cholangiocarcinomes intra-hépatiques Protonthérapie
Les résultats sont très encourageants, à la fois en termes de taux de contrôle local et de survie à 2 ans. C’est la raison pour laquelle une étude de phase III est désormais en cours pour évaluer l’intérêt d’une chimiothérapie par gemcitabine/cisplatine associée ou non à une irradiation intrahépatique selon cette technique.
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