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Odonto-Stomatologie tropicale - 1ère revue dentaire internationale panafricaine - Plus d'informations

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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


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C'est en 1950 que fut crée l'Institut d'Odonto-Stomatologie par l'arrêté du 27 juillet 1950. Depuis cette date et jusqu'à l'indépendance, l'enseignement était réalisé par des chirurgiens dentistes à mi-temps et des prothésistes. Les matières fondamentales et médicales étant enseignées par la faculté de médecine. Cet institut formait des chirurgiens dentistes à orientation vers le secteur privé.

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Point de vue


Le bureau de la Société Algérienne de Chirurgie (SAC)

Proposé par Larbi Abid - Algérie - Novembre 2018

Auteur : Mourad Abid

Mes chers confrères et amis,

Les derniers évènements concernant les élections du prochain bureau de la SAC nous ont privé du véritable débat. A la veille des élections nous ne savons toujours pas qui postule, pour quel poste et pour quel programme ?

Mon passage dans ce que nous pouvons considérer comme l’ancien bureau m’a appris beaucoup de choses sur le fonctionnement du bureau de SAC et surtout sur certaines incohérences que j’aimerais partager avec vous mais faire des propositions pour les corriger.

Un simple constat résume la situation actuelle : depuis plus de 10 ans maintenant nous subissons les mêmes pratiques qui n’ont jamais permis aux chirurgiens Algériens de s’exprimer librement et aussi que faire partie de la SAC ne profite en général qu’aux membres du bureau. J’en veux pour preuve 3 exemples :

Les tables rondes organisées dans les congrès nationaux sont dans la grande majorité dirigées par les membres du bureau sans tenir compte des avis des chirurgiens (hors bureau) qui souvent ont plus d’expérience et d’expertise dans le thème choisi. Les thèmes sont proposés par les membres du bureau qui par la suite deviennent automatiquement organisateurs (voir présidents de séances), jugent les abstracts, acceptent et rejettent comme bon leur semble. Lors d’une réunion j’avais proposé que les thèmes devraient être discutés au moins avec les professeurs hospitalo-universitaires et que l ‘organisation devrait être conduite par le chirurgien qui maitrise le mieux le sujet (soit parce qu’il en fait sa spécialité dans sa pratique, ou qu’il a de multiples publications sur le sujet etc.). Malheureusement et comme vous pouvez le constater, la plupart des tables rondes sont organisées par les membres du bureau, qui choisissent les présidents de séances et les modérateurs , sur des critères très souvent très discutables.

Le second exemple est celui des articles publiés dans la revue de la SAC, dont l’évaluation elle aussi se fait par les membres du bureau. C’est à dire que si vous êtes membre du bureau vous devenez automatiquement rewiever, même si vous n’avez aucune maitrise du sujet de l’article. J’ai personnellement refusé d’analyser un article que l’on m’avait confié car j’avais jugé que je n’avais aucune compétence pour l’évaluer. Une revue doit avoir un comité de rédaction et des reviewers, qui ne sont pas forcement membres du bureau de la société savante.

Enfin, et concernant les soit disant délégations qui représentent la SAC, notamment dans les congrès organisés par nos amis maghrébins, les membres du bureau se donnent le droit d’en faire partie même s’ils ne présentent aucun travail scientifique dans le congrès en question. Vous avez tous entendu parler ou assister comme moi à des situations franchement humiliantes ou des chirurgiens Algériens (communicants) doivent quémander auprès des organisateurs (Marocains ou Tunisiens) une prise en charge sans que cela ne préoccupe la délégation concernée (officielle) de la SAC.

Avec plusieurs collègues, j’avais proposé que les débats tournent autours des problèmes de fond et que chaque candidat (notamment pour la présidence de la SAC) expose ses idées et son programme bien à l’avance. En effet, nous nous attendions à ce que les candidatures soient annoncées plusieurs semaines avant les élections et non pas de 9h à 10h30 (dans un bureau ?) le jour même des élections.
Vous n’êtes pas sans savoir que depuis des années maintenant aucune assemblée générale n’a été organisée pour débattre sereinement des objectifs de notre société. A plusieurs reprises nous avons été nombreux à exprimer le vœux qu’une assemblée générale se tienne avant les élections, pour discuter au moins des statuts (qui doivent êtres modifiés, car trop anciens), établir d’une façon définitive une liste des adhérents ect..

Malheureusement, on nous mets devant le fait accompli en listant les membres qui peuvent voter, sur soit disant des critères préétablis (chirurgien à jour de ses cotisations et ayant déjà présenté un travail au niveau de la SAC). De ce point de vu les statuts sont clairs : c’est à l’assemblée de valider l’adhésion d’un membre et non pas un fichier Excel tenu secret.

De mon point de vue, les choses doivent changer ! Pourquoi ne pas aider de jeunes chirurgiens qui se distinguent par un travail (par exemple une publication dans une revue internationale) à faire un stage dans un service ou ils seraient recommandés par le président et avec une aide financière même symbolique. Une autre priorité, consiste à crée le site internet, pouvoir soumettre les résumés de façons anonyme ect. La liste est longue et aurai nécessiter un vrai débat. Au lieu de cela, on nous sert un ensemble de micmac incompréhensible.

Je trouve par ailleurs, que nous dépensons trop d’argent dans des congrès ou l’on rediscute des mêmes thèmes depuis des années, sans qu’aucune recommandation scientifique ne soit faite à l’issue des débats. Cet argent sert d’ ailleurs entre autre à organiser des déjeuners auxquels n’ont accès que ceux qui ont eu la chance d’avoir croisé le distributeur des tickets.

Tout le monde se rappelle de la fameuse étude multicentrique sur le pancréas réalisée à l’occasion du congrès d’Oran en 2017. Personnellement tout ce que j’ai retenu se sont les remontrances au sujet de la première plaque sur laquelle figurait les noms des auteurs. A croire que les personnes présentent en salle pour écouter les conclusions de l’étude n’ont vu que la première plaque.

Enfin, et parce que je n’aime pas la politique du fait accompli et des intrigues qui aboutissent à de soit disant candidats consensuels, j’ai décidé de maintenir ma candidature à la présidence de la SAC. Certains pensent que peut être suis-je trop jeune ou sans grande expérience, voir pas très estimé par certains leaders de la chirurgie en Algérie? C’est peut être vrai ! En réalité, je le fait parce que beaucoup de jeunes chirurgiens m’ont demandé de maintenir ma candidature (ils ne pourront peut-être pas voter !) mais aussi parce que je suis contre les arrangements et les faiseurs d’opinion qui veulent encore une fois nous imposer les mêmes personnes qui sont à la SAC depuis plus de 10 ans, et qui ne feront que maintenir le statuquo.

Enfin, si je permet d’apporter ces quelques éclaircissements, c’est que je considère que la mission de l’ancien bureau est terminée et que je ne suis plus tenu par un quelconque contrat moral de réserve et que certaines vérités méritent d’êtres dites.

PS : Notez SVP que dans cette lettre je ne cite aucun nom de chirurgien, car je ne souhaite en aucun cas polémiquer sur ces sujets. Ce qui m’importe c’est de pouvoir débattre et convaincre si possible.

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