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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


BELKHENCHIR Djillali (1941-1993)

Professeur Djillali BelkhenchirDjillali Belkhenchir est ne le 30 mars 1941 à Oued Rhiou (Relizane). Sa vie a été marquée par une volonté constante de faire coïncider son métier de médecin et sa conviction profonde que l'être humain est un tout dont il faut considérer chacun des aspects avec une égale et bienveillante attention.

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Naissance de la médecine algérienne

L’école de médecine d’Alger : 150 ans d’histoire : de 1857 à 2007

A l'occasion du 150ème anniversaire de la création de l'école de Médecine d'Alger , le professeur ABID a essayé de retracer les principales étapes de cette école depuis la rue René Caillé dans le quartier Bab Azzouz jusqu'à ce jour où elle est eclatée sur plusieurs sites. Il se peut qu'au cours de l'évocation de certains évènements des erreurs se soient glissées. De même que nous ayons omis de citer des noms de personnalités ayant fait cette faculté. Aussi nous demandons à tous ceux et toutes celles qui peuvent nous aider à compléter cette histoire de bien vouloir se rapprocher du site.

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Histoire de l'Algérie médicale : Naissance de la médecine algérienne


La médecine en Algérie pendant la période Ottomane (1516-1830)Envoyer cette page par e-mail Ajouter cette page à mes favoris

Par M.KHIATI Professeur de pédiatrie
( In "histoire de la médecine en Algérie" Ed ANEP 2000 )

Au cours de cette période qui s'étendit de 1516 (arrivée des frères Barberousse) jusqu'à 1830, trois médecines se sont côtoyées.
Chacune d'elle adaptée à la population à laquelle elle s'adressait :

La médecine européenne

En 1665, il existait cinq hôpitaux dans les bagnes d'Alger qui comprenaient un prêtre, un médecin et un chirurgien (barbier) ainsi que des infirmiers, des cuisiniers et des domestiques choisis parmi les captifs.

En fait le nombre d'hôpitaux variait selon les périodes (le nombre s'élevait pendant les épidémies). Ces hôpitaux recevaient principalement les captifs et accessoirement les marins chrétiens de passage à Alger.

Parmi les médecins captifs célèbres, on peut citer :

La médecine turque

Les turcs étant en nombre relativement modeste en Algérie, leurs besoins en matière de santé étaient relativement réduits.

Un Bech-Djerrah ou médecin-chef ou Amin des médecins assurait les fonctions de haut responsable de la santé. Ses bureaux jouxtaient la Djénina, siège du gouverneur (actuellement CHU Bab El Oued). Les services de ce médecin-chef, répondaient aux différents besoins de santé exprimés aussi bien par les dignitaires turcs que par les janissaires. Il était en outre responsable :

Si les médecins turcs exerçaient pour une durée déterminée en Algérie, certains d'entre eux ont exercé à titre privé, une fois leur service militaire terminé.

Il faut signaler que les turcs ont joué un rôle important sur le plan de l'hygiène publique à Alger et dans les grandes villes. En effet, se sont eux, aidés des hydrauliciens andalous, qui ont réalisés les quatre aqueducs et 120 fontaines publiques qui alimentaient la population algéroise. Les hammams (bains maures) d'Alger (plus de soixante), de Tlemcen et de Constantine étaient réputés. La propreté de la ville était confiée à un organisme dirigé par un Caïd El Zbel qui s'occupait du ramassage des ordures ménagères et de l'entretien des canalisations des eaux usées. La première structure hospitalière turque fut construite en 1550 par Hassan le fils de Khair-eddine Barberousse. Le nom d'asile était souvent donné à ces maisons de soins. Parmi ces structures on peut citer pour Alger :

La médecine populaire

La médecine populaire était synonyme de médecine naturelle et était basée sur l'utilisation des plantes médicinales recueillies localement. Les médecins appelés hakims ou sages exerçaient le jour du marché. Les consultations étaient pratiquées en dehors ou sous la tente. Certaines accoucheuses (kabla) étaient réputées et avaient le monopole des accouchements. Certaines tribus étaient également connues pour leurs connaissances en médecine en particulier dans l'art de guérir les coups, les blessures et les fractures. Plusieurs hôpitaux existaient en Algérie au cours de cette époque, en particulier à Alger, Tlemcen, Oran et Bedjaïa.
Parmi les médecins célèbres de cette époque, on peut citer :

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