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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Le martyr, BENZERDJEB Benaouda naquit le 9 janvier 1921 à Tlemcen où il grandit dans un milieu populaire modeste. Il fit ses études au collège Ibn Khaldoun et obtint le diplôme du baccalauréat en 1941, ainsi que le premier prix de langue allemande. Ses idées nationalistes, contribuèrent à la formation, chez lui, d'un sens politique qui le poussa à s'engager dans les rangs du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD).
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Si à l’'université, les étudiantes sont majoritaires dans les amphis, si la prédominance féminine à la faculté de médecine algérienne est manifeste depuis plus d’une vingtaine d’année , si le dernier bastion masculin (à savoir la chirurgie) vient également de tomber et si au XXIème siècle, la plupart des pays garantissent aux femmes un accès aux études médicales égal à celui des hommes, bien que tous n'assurent pas l'égalité des possibilités d'emploi, historiquement, cette place a souvent été restreinte dans de nombreux endroits du monde, alors même que le rôle des femmes en tant que soignantes est très important. Cette proportion élevée de femmes s’explique assez aisément car les bachelières reçues au baccalauréat scientifique se dirigent plus volontiers vers les sciences de la vie et de la nature (professions médicales et paramédicales).

Interne à Alger en 1906, 6 ans avant le professeur Henri Duboucher, 2 ans après le Professeur Lombard, il est Prosecteur d'anatomie du rigoureux Professeur Trolard. Il part à Paris, élève de Lecène et d'Edouard Quénu, et revient Professeur à Alger en 1920, succédant à son maître Eugène Vincent en 1924, qui dirigeait les salles Lisfranc et Larrey. Il a alors 40 ans.
D'allure colossale c'était un opérateur rapide. Le premier il donne dès 1925 le système pavillonnaire à l'hôpital de Mustapha, transformant les deux salles de Vincent en un ensemble à quatre étages, avec ses deux parties, Eugène Vincent et Dupuytren. Il sera suivi par Georges Aubry en 1932, puis par la plupart des patrons. Il sera le maître d'Etienne Curtillet, d'Henri Liaras, de René Bourgeon, suivis de Louis Sirot, Paul Butori, Pierre Pantin, Jean Houël, André Leca. Il est mort accidentellement en août 1951, en France, a la suite d'une chute. Il a été professeur à 31 ans.
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