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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
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Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


ABID Abdelkader (1950-2016)

Dr. Abid AbdelkaderLe docteur Abdelkader Abid est né à 1950 à Ain Témouchent dans une famille de commerçants aisés et lettrés. Ce n’est pas un hasard s’il fut prénommé en l’honneur de l’émir Abdelkader symbole de la résistance algérienne dans cette famille révolutionnaire de l’ouest.

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Naissance de la médecine algérienne

Histoire de la neurochirurgie algérienne

Tous les secteurs de la vie économique, sociale, culturelle sont affectés. Le secteur de la santé ne fait pas exception. Médecins, professeurs d’Universités, personnels paramédicaux en majorité français quittent le pays. Les structures hospitalières publiques ou privées, la faculté de médecine, sont complètement désorganisés. De plus, nombreux bâtiments de soins ont été détruits par l’OAS* parfois avec la complicité de médecins. C’est le cas du service de neurochirurgie, installé à la «clinique Barbier Hugo». Le neurochirurgien et son équipe quittent les lieux après démolition par plastiquage des blocs opératoires. Il ne reste que quelques lits qui seront transportés à l’hôpital Ali Ait Idir : ils équiperont et pour longtemps le service de réanimation du nouveau service de neurochirurgie.

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Revue de presse

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Algérie Bientôt de nouvelles mesures prises par le comité scientifique

Le jeune indépendant | Algérie | 19/07/2022 | Lire l'article original

Le directeur général de l’Institut Pasteur Algérie, le Pr Fawzi Derrar, a confirmé l’existence du nouveau sous-variant d’Omicron, BA.5, soulignant qu’il est à l’origine de la hausse des cas de contamination constatée au début du mois en cours.

Le membre du comité scientifique, qui s’exprimait hier sur les ondes de la radio régionale de Sétif, a indiqué qu’en Algérie, nous n’avons pas beaucoup de données sur ce nouveau sous-variant d’Omicron, apparu en Inde. Il a donc appelé à la prudence face à ce nouveau mutant, qui ne ressemble pas, dit-il, à ses prédécesseurs. Fawzi Derrar a révélé qu’une réunion du Conseil scientifique, en présence du ministre de la Santé, sera tenue pour prendre de nombreuses mesures, notamment avec le retour des pèlerins.

Le responsable a insisté sur l’importance de se concentrer sur la sensibilisation et le respect des mesures préventives. Le directeur général de l’Institut Pasteur a déclaré que l’objectif est de revenir à la vaccination mais aussi de respecter les mesures préventives pour briser la chaîne de transmission et la hausse des cas à l’avenir.

« Le travail commence dès maintenant », a-t-il déclaré, appelant toute personne présentant des symptômes à être immédiatement examinée et isolée. Il a averti de l’insouciance des uns et la complaisance des autres, qui pourraient mener à une autre vague, soulignant qu’il est trop tôt pour parler d’une cinquième vague à la lumière de la situation actuelle. « La prévention seule nous empêchera d’arriver à cela à l’avenir », a-t-il soutenu.

Le Pr Derrar a tenu à souligner que le coronavirus n’a pas disparu et qu’il ne disparaîtra pas de sitôt, selon les rapports de l’Organisation mondiale de la santé. Il a expliqué qu’Omicron s’est propagé depuis la fin de l’année dernière. Il a atteint son sommet en janvier dernier et a continué pendant cinq semaines. Ensuite, il a commencé à décliner en raison de l’acquisition de l’immunité, qui a représenté une baisse de 16 000 cas à moins de 50 cas par jour, puis un état de stabilité. « Nous nous attendions à l’émergence de ces mutations d’Omicron. C’est ce qui s’est passé à la fin du mois de juin, où il a commencé à se répandre », a-t-il indiqué.

Il a ajouté, dans ce même contexte : « Nous savons très bien qu’il y a une augmentation des cas d’infection, et beaucoup de gens n’effectuent pas le diagnostic et la détection par PCR. Cette souche BA.5 se répand rapidement dans le monde et dans notre pays, en l’absence, quasi-totale, d’éléments protecteurs. »
Le directeur général de l’Institut Pasteur a fait savoir que les jeunes sont plus immunisés contre le virus. « Mais c’est dangereux pour les groupes vulnérables, en particulier les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies chroniques », a-t-il précisé. Il a souligné que cette souche « n’est pas plus dangereuse que ses prédécesseurs, mais c’est celle qui se propage le plus rapidement, et les chances d’atteindre des cas dangereux pour ces groupes sont plus fortes qu’auparavant ».

Lynda Louifi

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