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Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


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Des médecins cubains en Algérie
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Histoire de l'Algérie médicale

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ABOULOLA Mohamed

Professeur Mohamed AboulolaLe professeur Mohamed Aboulola est né à Ghardaïa le 19 septembre 1929. Après avoir suivi des études primaire à Guelma où il fut témoin des massacres de 1945 perpétrés par l’armée coloniale, il rejoint Alger pour effectuer ses études secondaire. Il part par la suite à Lyon poursuivre ses études en médecine. Il fut externe puis interne des hôpitaux de Lyon où il a exercé auprès de maîtres illustres de la chirurgie générale et pédiatrique dont les professeurs Mallet Guy, Marion et Jaubert de Beaujeu, ce dernier l’orientant vers la chirurgie pédiatrique qu’il développera par la suite à son retour en Algérie.

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Naissance de la médecine algérienne

Les 40 ans de néphrologie dialyse en Algérie : un point de vue sur l’historique de l’évolution de la néphrologie dialyse en Algérie

La néphrologie a contribué au progrès de la médecine en Algérie particulièrement dans les domaines de la médecine interne, la technologie, la formation, l'organisation sanitaire et la réflexion éthique (don d'organes). Les obstacles rencontrés pour faire reconnaître cette discipline comme spécialité médicale et universitaire ont été fort nombreux. La ténacité des néphrologues à partir de 1977 a porté ses fruits. Ainsi, l'enseignement de la néphrologie en Algérie a débuté en 1988. Le Comité Pédagogique Régional de Néphrologie a été constitué à Alger en 1988 et le Comité Pédagogique National en 1989.

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Revue de presse

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Algérie Variant indien : Son entrée en Algérie surprend les spécialistes

Le soir d'Algérie | Algérie | 05/05/2021 | Lire l'article original

Il est arrivé. Le variant indien de la Covid-19 soulève des interrogations quant à son entrée en Algérie. Il laisse perplexe les professionnels de la santé qui prônent l’application stricte des mesures sanitaires, face à l’insouciance de la population et au laxisme des autorités publiques.

Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Le variant indien de la Covid-19 surgit en Algérie. Six cas ont été récemment identifiés dans la wilaya de Tipasa à l’ouest de la capitale. Selon l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA), la souche détectée dans notre pays est différente de celle répandue en Inde. « Elle est du sous-type 2 qui comporte des différences par rapport au mutant hybride actuellement endémique en Inde », précise-t-on dans un communiqué. Ce variant, poursuit-on, est classé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme « variant à suivre », après les variants dits « préoccupants », à savoir les variants britannique, sud-africain et brésilien.

Faut-il s’inquiéter de l’apparition du variant indien en Algérie ? Aura-t-il un impact sur la situation épidémiologique du pays ? Pourra-t-il franchir le rempart du vaccin anti-Covid-19 utilisé actuellement ?

Le directeur général de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA), le Dr Fawzi Derrar, assure que le foyer détecté a été « cerné », pour empêcher la propagation du virus. Intervenant, hier, sur les ondes de la Chaîne 1 de la Radio nationale, il a affirmé que « tous les vaccins actuellement utilisés contre la Covid-19 restent résistants et efficaces pour protéger contre toutes les nouvelles souches du virus apparues ».

Chef de service d’infectiologie à l’Établissement hospitalier spécialisé en maladies infectieuses Laâdi-Flici (ex-hôpital El-Kettar), à Alger, le professeur Nassima Achour semble perplexe quant à la présence du variant indien en Algérie. « Si toutes nos frontières sont fermées, comment a-t-il pu rentrer ?» s’interroge-t-elle d’emblée. Face à ce variant à double mutation, elle préconise de maintenir les conduites définies et établies ainsi que la même prise en charge. « Nous allons faire de notre mieux pour continuer à lutter contre la propagation de ce virus et ses variants », dit-elle. L’infectiologue rappelle que la promiscuité favorise l’émergence du Sars-CoV-2 et de ses différents mutants. Elle déplore ainsi « le laisser-aller absolu », constaté depuis plusieurs mois dans notre pays. « Les gens ne prennent plus les précautions nécessaires pour parer à la contamination au virus de Covid-19, et le port de bavette n’est plus respecté », fait-elle remarquer. Soulignant le caractère variant des virus, elle ajoute : « Nous serons peut-être appelés à être vaccinés tous les ans. Nous ne pouvons que rester aux aguets et maintenir les mesures de prévention.» De son côté, le Dr Mohamed Yousfi, chef de service des maladies infectieuses à l’EPH de Boufarik et président de la Société algérienne d’infectiologie, estime qu’il faudra s’inquiéter de la situation épidémiologique de manière générale. Pour lui, il n’est pas normal que la contamination reprenne du simple au double au bout de quinze jours. « Nous avons pourtant connu une situation très à l’aise pendant trois mois », dit-il. Une recrudescence qu’il impute à l’insouciance de la population dans le respect des mesures sanitaires, et au laxisme des autorités publiques censées veiller à faire appliquer ces recommandations.

« Le risque est plus accru lorsqu’il y a des variants britannique, nigérian ou indien. Ils sont plus contagieux et une troisième vague ne fera que favoriser leur circulation », note-t-il.
Le Dr Yousfi insiste, à cet effet, sur le respect des mesures barrières en attendant la vaccination qui, selon lui, peine à démarrer. « La campagne de vaccination est encore à l’état embryonnaire. Avec uniquement 660 mille doses reçues, seules 330 mille personnes seront vaccinées, alors que nous avons besoin de vacciner au moins 30 millions de personnes pour atteindre l’immunité collective», dit-il. Citant l’exemple de l’Europe et des État-Unies d’Amérique qui ont mené une vaccination massive en pleine 3e vague de la pandémie, il regrette que l’Algérie n’ait pas profité d’une situation épidémiologique «très favorable» pour accentuer la campagne de vaccination.

« S’il y avait une bonne stratégie pour la vaccination, nous aurions pu vacciner la population à l’aise, au moment où la situation épidémiologique était stable, d’autant que le vaccin agit sur tous les variants à des niveaux d’efficacité différents », conclut-il.

Ry. N.

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