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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Djillali Belkhenchir est ne le 30 mars 1941 à Oued Rhiou (Relizane). Sa vie a été marquée par une volonté constante de faire coïncider son métier de médecin et sa conviction profonde que l'être humain est un tout dont il faut considérer chacun des aspects avec une égale et bienveillante attention.
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En 1940, les étudiants marocains et tunisiens qui allaient habituellement faire leurs études supérieures en France (médecine, pharmacie, lettres) viennent s'inscrire à l'université d'Alger, unique université alors pour tout le Maghreb dit "Afrique du Nord". Novembre 1942 : nommée au concours des hôpitaux d'Alger et, peu après, élue présidente de l'association des internes et anciens internes des hôpitaux d'Alger, la plupart de mes condisciples ayant été appelés sous les drapeaux, j'étais ainsi la première étudiante en médecine algérienne et premier élément algérien interne des hôpitaux...
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Le jeune indépendant | Algérie | 15/09/2020 | Lire l'article original
Lors de son passage, ce mardi, sur les ondes de la radio chaine 1, qualifiant de bonne la situation épidémiologique actuelle en Algérie, Derrar rassure. « Les récentes mises en garde de l’Organisation mondiale de la santé liées à la forte propagation du virus Covid-19 en octobre et novembre ne concernent pas autant l’Algérie que l’Europe et les États-Unis d’Amérique », a indiqué le directeur général de l’Institut Pasteur.
Le directeur de la branche européenne de l’OMS a mis en garde contre une remontée du nombre de morts lié à la COVID-19 en Europe, lors des mois d’octobre et de novembre.
Des prévisions « raisonnables » selon Derrar, compte tenu d’un certain nombre de facteurs, entre autres, la baisse des températures durant les mois à venir, la rentrée sociale et scolaire dans plusieurs pays européens. Cela, augmentera, estime-t-il, le nombre de personnes qui seront en contact direct dans des endroits clos. Selon lui, tous ces indicateurs suggèrent que la propagation de l’épidémie va s’intensifier dans les mois à venir, constatant qu’elle est à des niveaux très élevés dans de nombreux pays européens et aux États-Unis d’Amérique.
Pour ce qui est de l’Algérie, le pays ne se trouve pas dans la même situation épidémiologique enregistrée, principalement en Europe. Le DG de l’Institut de Pasteur estime que la situation épidémiologique en Algérie est bonne, avec le passage de la phase épidémiologique aiguë, en particulier les mois de mai et juin. Depuis la fin du mois de juillet, la situation s’est stabilisée et le nombre des contaminés est en baisse quotidienne. Chose qui a eu un impact positif sur les hôpitaux qui ne sont plus sous pression. C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé Derrar, qui a indiqué que « la situation dans les hôpitaux s’est améliorée », et qu’ils ne sont plus sous pression, tout comme le service de réanimation et les laboratoires. Il a par ailleurs appelé à la vaccination contre la grippe saisonnière, dans l’attente d’un éventuel vaccin contre le coronavirus, soulignant que le vaccin antigrippal ne prévient pas contre le coronavirus.
Cependant, malgré que le pays enregistre une baisse des contaminations à la COVID-19, les experts ne cessent d’appeler à la prudence et au respect des mesures préventives, car le pays, faut-il le signaler, n’est pas à l’abri d’une nouvelle vague de contamination.
L.A.Akli
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