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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Evoquer la mémoire et le parcours remarquable de celui qui fut et restera le fondateur de l’endocrinologie dans notre pays après l’indépendance renvoie à la douleur que sa disparition récente a gravé dans le cœur de ses proches, avec une pensée particulière et émue pour sa sœur Assia, fidèle d’entre les fidèles. La disparition du professeur Moulay Ben Miloud a aussi frappé d’une grande tristesse ses amis, ses pairs et ses nombreux élèves, présents en Algérie ou établis à l’étranger. D’ailleurs, beaucoup parmi ses disciples auraient pu lui rendre hommage tant l’autorité naturelle qui émanait de son élégante personne, suscitait d’emblée et unanimement le respect. Et ce respect allait bien au-delà de la simple considération due aux maîtres qu’impose aux médecins la tradition hippocratique.
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Si à l’'université, les étudiantes sont majoritaires dans les amphis, si la prédominance féminine à la faculté de médecine algérienne est manifeste depuis plus d’une vingtaine d’année , si le dernier bastion masculin (à savoir la chirurgie) vient également de tomber et si au XXIème siècle, la plupart des pays garantissent aux femmes un accès aux études médicales égal à celui des hommes, bien que tous n'assurent pas l'égalité des possibilités d'emploi, historiquement, cette place a souvent été restreinte dans de nombreux endroits du monde, alors même que le rôle des femmes en tant que soignantes est très important. Cette proportion élevée de femmes s’explique assez aisément car les bachelières reçues au baccalauréat scientifique se dirigent plus volontiers vers les sciences de la vie et de la nature (professions médicales et paramédicales).
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Le jeune indépendant | Algérie | 15/09/2020 | Lire l'article original
Lors de son passage, ce mardi, sur les ondes de la radio chaine 1, qualifiant de bonne la situation épidémiologique actuelle en Algérie, Derrar rassure. « Les récentes mises en garde de l’Organisation mondiale de la santé liées à la forte propagation du virus Covid-19 en octobre et novembre ne concernent pas autant l’Algérie que l’Europe et les États-Unis d’Amérique », a indiqué le directeur général de l’Institut Pasteur.
Le directeur de la branche européenne de l’OMS a mis en garde contre une remontée du nombre de morts lié à la COVID-19 en Europe, lors des mois d’octobre et de novembre.
Des prévisions « raisonnables » selon Derrar, compte tenu d’un certain nombre de facteurs, entre autres, la baisse des températures durant les mois à venir, la rentrée sociale et scolaire dans plusieurs pays européens. Cela, augmentera, estime-t-il, le nombre de personnes qui seront en contact direct dans des endroits clos. Selon lui, tous ces indicateurs suggèrent que la propagation de l’épidémie va s’intensifier dans les mois à venir, constatant qu’elle est à des niveaux très élevés dans de nombreux pays européens et aux États-Unis d’Amérique.
Pour ce qui est de l’Algérie, le pays ne se trouve pas dans la même situation épidémiologique enregistrée, principalement en Europe. Le DG de l’Institut de Pasteur estime que la situation épidémiologique en Algérie est bonne, avec le passage de la phase épidémiologique aiguë, en particulier les mois de mai et juin. Depuis la fin du mois de juillet, la situation s’est stabilisée et le nombre des contaminés est en baisse quotidienne. Chose qui a eu un impact positif sur les hôpitaux qui ne sont plus sous pression. C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé Derrar, qui a indiqué que « la situation dans les hôpitaux s’est améliorée », et qu’ils ne sont plus sous pression, tout comme le service de réanimation et les laboratoires. Il a par ailleurs appelé à la vaccination contre la grippe saisonnière, dans l’attente d’un éventuel vaccin contre le coronavirus, soulignant que le vaccin antigrippal ne prévient pas contre le coronavirus.
Cependant, malgré que le pays enregistre une baisse des contaminations à la COVID-19, les experts ne cessent d’appeler à la prudence et au respect des mesures préventives, car le pays, faut-il le signaler, n’est pas à l’abri d’une nouvelle vague de contamination.
L.A.Akli
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