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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Le docteur Ahmed AROUA est né le 11 mai 1926 à M'doukal, Hodna (wilaya de Batna). Il doit sa formation arabe et islamique essentiellement à son père Mohamed Esseddik, lui-même formé à l'université islamique Zitouna de Tunis. Il fit ses études de médecine à la faculté de Montpellier où il soutint sa thèse de doctorat en médecine en octobre 1955.
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Trois ans après l'indépendance de l'Algérie, le corps médical des pays du Maghreb, par l'intermédiaire de ses sociétés savantes, a décidé d'organiser annuellement une rencontre scientifique dans l'un des trois pays pour débattre de leurs problèmes médico-chirurgicaux. Les premières journées médico-chirurgicales maghrébines ont eu lieu du 5 au 8 mai 1965 à Casablanca (Maroc). Elles ont été organisées par les sociétés savantes des 3 pays maghrébins qui étaient alors dirigées par...
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El Moudjahid | Algérie | 13/09/2020 | Lire l'article original
Les médecins de soins intensifs, qui soignent pourtant les malades les plus graves, sont moins susceptibles d'avoir été infectés par le coronavirus que leurs confrères d'autres services, voire que les agents d'entretien des hôpitaux, selon une étude britannique parue vendredi.
Cela pourrait notamment s'expliquer par le fait qu'ils ont reçu en priorité des équipements à haut niveau de protection, comme des masques, avancent les auteurs de ces travaux, publiés dans la revue médicale Thorax.
« Nous présumions que les professionnels des soins intensifs couraient un risque plus élevé (...) mais ils sont relativement bien protégés par rapport à d'autres», a commenté l'auteur principal de l'étude, Alex Richter, professeur d'immunologie à l'université de Birmingham.
L'étude porte sur plus de 500 membres du personnel d'hôpitaux de Birmingham, qui étaient tous en poste fin avril, alors que l'épidémie faisait rage et que le confinement était en vigueur au Royaume-Uni. A ce moment-là, ces hôpitaux accueillaient en moyenne cinq malades du Covid-19 par heure. Les chercheurs ont soumis les participants à l'étude à un test sérologique, pour voir s'ils avaient été précédemment infectés.
Au total, 24% des participants avaient développé des anticorps prouvant une infection passée due au coronavirus, contre 6% dans la population générale de cette région de l'Angleterre. Mais ce taux variait selon la catégorie de personnels. Il était le plus bas chez les professionnels de soins intensifs (15%), contre environ 30% dans les services de médecine interne générale et 34,5% chez les agents d'entretien.
En plus de la question des équipements, cela pourrait s'expliquer par le fait que les professionnels de soins intensifs sont plus rompus à appliquer rigoureusement des mesures de prévention des infections, a commenté un professeur d'anesthésie à l'université de Bristol, Tim Cook.
En outre, selon lui, cela pourrait également venir du fait que les patients les plus gravement atteints et donc avancés dans la maladie sont moins contagieux que ceux pour qui l'infection est plus récente.
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