Accueil Santemaghreb.com Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE



encart_diam

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


Professeur Larbi Abid
Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid


Bloc notes

Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.

Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.

Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.

> Voir le bloc-notes


Informations Hospitalo-universitaires

Programme d'études

> Consulter tous les programmes


Documentation

> Consulter toute la documentation


Histoire de l'Algérie médicale

Les hommes et les femmes


BOUKHROUFA Abdelkader (1932-2004)

Abdelkader BOUKHROUFAL'Algérie et la médecine algérienne ont perdu le 23 mars 2004 un de ses valeureux enfants : le professeur Abdelkader BOUKHROUFA.

> Consulter toutes les biographies


Naissance de la médecine algérienne

Les 40 ans de néphrologie dialyse en Algérie : un point de vue sur l’historique de l’évolution de la néphrologie dialyse en Algérie

La néphrologie a contribué au progrès de la médecine en Algérie particulièrement dans les domaines de la médecine interne, la technologie, la formation, l'organisation sanitaire et la réflexion éthique (don d'organes). Les obstacles rencontrés pour faire reconnaître cette discipline comme spécialité médicale et universitaire ont été fort nombreux. La ténacité des néphrologues à partir de 1977 a porté ses fruits. Ainsi, l'enseignement de la néphrologie en Algérie a débuté en 1988. Le Comité Pédagogique Régional de Néphrologie a été constitué à Alger en 1988 et le Comité Pédagogique National en 1989.

> Consulter toutes les rétrospectives

Revue de presse

Il y a actuellement 17925 articles disponibles dans la Revue de presse

Algérie Signature de la liste des médicaments au profit des établissements publics : Les thérapeutiques innovantes anticancer exclues

El Watan | Algérie | 08/09/2020 | Lire l'article original

La liste des produits pharmaceutiques et les dispositifs médicaux au profit des établissements publics, dans le cadre de la procédure d’achat pour compte, a été signée par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière le 16 août dernier.
Elle compte 988 médicaments Dénominations communes internationales (DCI), dont 105 produits sont destinés à la cancérologie et 124 dispositifs médicaux. Les thérapeutiques innovantes, dont l’immunothérapie et l’hormonothérapie, enregistrées en 2018, ne figurent pas sur cette liste.

Après avoir été promis par les ministres de la Santé qui se sont succédé depuis cette date, la PCH avait évoqué l’année dernière la nécessité d’un appel d’offres alors que ces molécules sont uniques et ne sont pas tombées dans le domaine public.

Ainsi, ces produits sont bloqués pour la troisième année consécutive. Ce qui sera dramatique pour les malades et leurs familles, « les cliniciens et les spécialistes, qu’ils soient hématologues, radiologues, oncologues ou anatomistes pathologistes (anpath,) conscients des enjeux, sont aujourd’hui convaincus que le recours à l’immunothérapie et à la thérapie ciblée est incontournable. La non-commercialisation de ces molécules réduit encore une fois les chances pour les personnes atteintes de cancer, sauf s’il y a une révision urgente », regrette le Pr Kamel Bouzid, chef de service d’oncologie au CPMC et président de la Société algérienne d’oncologie.

D’autant que « pour certaines pathologies cancéreuses, il n’y a pas d’alternative, notamment le mélanome malin métastatique, le cancer du sein métastatique, le cancer du poumon non à petites cellules et certaines formes du cancer du sein », déplore-t-il tout en réfutant les arguments avancés, il y a six mois, par l’actuel ministre de la Santé, le Pr Abderhmane Benbouzid, que « ces molécules sont hors de prix ». Le Pr Bouzid déclare : « Je ne sais pas qui souffle ces énormités aux ministres successifs. J’en subodore la source, qui n’est certainement pas un oncologue médical algérien. A un précédent ministre, on avait même expliqué que les oncologues algériens ne maîtrisent pas ces traitements.

Nous utilisons, par exemple, un médicament pour le cancer de la prostate qui coûte 600 000 Da par mois depuis huit ans, pour une durée moyenne de traitement de cinq ans. Je tiens à préciser qu’aucun oncologue algérien n’a été consulté, encore moins les patients et leurs familles », a-t-il signalé, en précisant que les traitements innovants ne se résument pas à l’immunothérapie.

Et de lancer : « Les oncologues médicaux algériens ne sont ni des imbéciles ni des criminels », en faisant référence à la citation de B. Brecht à propos du nazisme et des camps de la mort : « Celui qui ne sait pas est un imbécile, celui qui sait et ne dit rien est un criminel.» (1947). Le président de la Société algérienne d’oncologie se félicite du raccourcissement des délais pour les soins en radiothérapie et l’amélioration sensible des capacités de prise en charge.

Par ailleurs, le Pr Bouzid souligne que l’épidémie de Covid-19 impacte lourdement les possibilités de diagnostic précoce et de dépistage du cancer et autres pathologies en Algérie et dans le monde, en se référant aux études chinoises et européennes. L’oncologue plaide au passage, eu égard au nombre de soignants contaminés et décédés par Covid-19, d’inscrire cette infection comme une maladie professionnelle, avant que «le combat cesse faute de combattants», a-t-il indiqué.

Djamila Kourta

Lire l'article original

Retour



CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !