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Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
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Le professeur Rachid BENABADJI a pris sa retraite en juillet 1998. Il avait exercé les fonctions de professeur chef de service de chirurgie générale à la clinique centrale de 1980 à 1986 puis au service de chirurgie générale de l’hôpital Bologhine de 1986 à 1998.
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Pour avoir une idée de la place de l’urologie par le passé, je rappellerai deux dates révélatrices de l’histoire de l’Urologie. 1731, lors de la fondation de l’Académie Royale de Chirurgie considérée comme le début de l’ère moderne de la chirurgie français, la taille vésicale était l’opération la plus sophistiquée et la plus dangereuse. Son succès était lié à l’habilité du chirurgien et c’est elle qui consacrait sa renommée.
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El Moudjahid | Algérie | 02/12/2023 | Lire l'article original
Le chef de service Gynécologie-obstétrique à l'Etablissement hospitalo-universitaire (EHU) Nafissa-Hamoud, le Pr Mokrane Medjtoh a appelé à réduire le recours à la césarienne, compte tenu «de ses graves conséquences» sur la santé de la femme.
S'exprimant en marge du 4e Congrès de chirurgie gynécologique, le spécialiste a affirmé que «la césarienne sauve souvent la vie de la maman et de son bébé. En revanche, elle est à l'origine de plusieurs problèmes de santé dont le «placenta accreta», voire parfois des problèmes au niveau de l'appareil digestif et de la vessie, causant ainsi des hémorragies pouvant mettre en péril la vie de la femme».
Lors de ce Congrès il a été question du cancer de l'ovaire et de l'endomètre, de la chirurgie du prolapsus et du placenta accreta, tous liés au recours croissant à la pratique de la césarienne et qui causent plusieurs décès chez les femmes. Qualifiant la chirurgie du placenta de très compliquée, compte tenu du nombre considérable de poches de sang qu'elle exige, le Pr Medjtoh a indiqué que les chirurgiens algériens ne recourent plus, depuis 2019, à la technique de prothèse, en raison de son inefficacité et des complications qu'elle cause aux femmes au fil du temps. Une femme sur deux est atteinte du prolapsus génital après la cinquantaine et la ménopause, a-t-il précisé, rappelant les facteurs de risque notamment l'âge, les accouchements répétés et l'obésité.
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