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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Médecin mécène, philosophe et homme de science. Abdelkader Belabbes est né le 6 septembre 1915 à Béjaïa dans une famille relativement aisée pour l’époque. Son père Ahmed habitait l’actuelle rue Allaoua Touati (en haut du lycée Ibn Sina). Après avoir terminé l’enseignement primaire, il ira à Alger et plus précisément au lycée de Ben Aknoun où il décrochera son bac en 1933, à l’âge de 18 ans. Voulant devenir médecin, il ira en France, à Tours plus exactement, où il effectuera sa médecine et obtiendra son doctorat en 1940.
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…j’ai ressenti le devoir de rédiger et d’insérer dans le numéro 8 de la revue « Le journal du Praticien » de l’année 1996, un hommage à notre Maitre, le Pr. Bachir Mentouri qui venait malheureusement de disparaitre après une longue maladie. J’ai quitté la CCA vingt ans auparavant, mais mes souvenirs étaient restés intacts. J’ai relu ce que j’avais écrit alors. Aujourd’hui, je n’aurais pas rajouté ni supprimé une ligne de ce qui me paraissait, à l’époque, la traduction fidèle et sincère de la trajectoire de cet »honnête homme » dans l’acceptation la plus noble du terme.
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El Moudjahid | Algérie | 21/06/2022 | Lire l'article original
Le ministre de la Santé a présidé, hier, à l’Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger, le colloque international sur l’infectiologie ‘‘DZ Infection’’, en présence d’un grand nombre de spécialistes.
A cet effet, le professeur Abderrahmane Benbouzid a déclaré que cette rencontre scientifique constitue une « formidable tribune » de valorisation de l’expertise algérienne en matière de santé publique et précisé que les différentes épidémies que nous avons connues ces dernières décennies ont démontré la « vulnérabilité » du monde face aux maladies infectieuses émergentes à potentiel épidémique. «Le constat qui a été fait est que nous étions à chaque fois mal préparés pour riposter à de tels événements épidémiologiques graves et durables», a-t-il admis.
Le ministre a observé que malgré la transition épidémiologique, les maladies transmissibles restent un «énorme» problème de santé publique et révélé que la dernière étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) indique que les maladies infectieuses sont responsables de 43% du poids des maladies tant sur le plan de la mortalité que de la morbidité. « Eliminer les maladies transmissibles a des bénéfices importants sur la santé et sur l’économie, sans parler du bien-être de la population », a-t-il soutenu.
Evoquant la résistance aux antimicrobiens, il dira qu’il s’agit d’un problème majeur de santé publique qui nécessite un ensemble d’interventions et des équipes pluridisciplinaires. « Cette résistance, a-t-il poursuivi, a représenté ces dernières décennies une menace croissante, entravant l’efficacité du traitement d’un ensemble d’infections émergentes et constitue de ce fait une menace sur la santé mondiale, la sécurité alimentaire et le développement ». Dans le même ordre d’idées, il a indiqué que l’impact des infections dû à la résistance aux antibiotiques nécessite le recours à des médicaments plus coûteux, engendre la prolongation de la maladie, de son traitement et de son hospitalisation, et accroît les dépenses de santé et les charges financières sur les familles. Et dans le cadre de la riposte à ce grave problème de santé publique, le Pr Benbouzid a rappelé que l’Algérie a élaboré un plan stratégique en ligne avec le Plan mondial pour combattre la résistance aux antimicrobiens et assuré que notre pays a fait des progrès énormes en termes de prévention et de lutte contre les maladies infectieuses notamment. Il citera à ce sujet la certification, en 2016, de l’éradication de la poliomyélite à virus sauvage, l’élimination, en 2018, du tétanos maternel et néonatal, la certification de l’élimination du paludisme en 2019, la poursuite du processus d’élimination de la rougeole et la rubéole et l’élimination du trachome avant la fin de l’année en cours. Pour le ministre, l’infectiologie est une science transversale qui touche l’ensemble des spécialités, sans aucune frontière, ajoutant qu’à l’échelle de la communauté, l’infectiologie doit avoir le regard tourné vers la santé publique et proposer les stratégies nécessaires pour prévenir les événements indésirables liés à l’émergence de nouvelles pathologies microbiennes.
Mohamed Mendaci
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