← Accueil Santemaghreb.com
Accès aux sites pays
ALGERIE
MAROC
TUNISIE

Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
> Consulter tous les programmes
> Consulter toute la documentation
Mahfoud BOUCEBCI est né le 22 novembre 1937 à Miliana.
Après des études de médecine puis de psychiatrie à Nice, il rentre à Alger en 1967 où il poursuit une carrière hospitalo-universitaire. Il passe son agrégation en 1972 et part au CHU d'Oran où il exercera pendant 2 ans, puis revient à Alger pour être nommé professeur, chef de service de psychiatrie à la clinique « Les Oliviers ».
> Consulter toutes les biographies
Allocution de bienvenue du professeur MOULEY-AHMED MERIOUA, président de la société de médecine d'Alger. La Société de Médecine d'Alger et la Société Algérienne de Chirurgie ont le privilège d'accueillir les représentants de la Société de Médecine de Paris. J'ai l'honneur de leur souhaiter la bienvenue au nom de tous les membres de nos deux sociétés. Ils arrivent parmi nous précédés de l'auréole de prestige et de rayonnement de leur Société qui peut s'enorgueillir d'avoir su réaliser une harmonieuse synthèse entre la tradition et le modernisme. C'est le mérite en effet de la Société de Médecine de Paris qui dans moins d'un mois, le 20 mars exactement, va fêter son 172ème anniversaire, d'ajouter au lustre de l'ancienneté, l'éclat d'un grand dynamisme et d'une éternelle jeunesse.
Il y a actuellement 18897 articles disponibles dans la Revue de presse
Algérie presse service | Algérie | 21/06/2022 | Lire l'article original
ALGER - Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid a déclaré, mardi, que l'Algérie avait réalisé des progrès notables en matière de prévention et de lutte contre les maladies infectieuses, des efforts qui lui ont permis d'obtenir plusieurs certificats d'élimination de nombre d'entre elles, délivrés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Présidant l'ouverture, à Alger, du Colloque international d'infectiologie qui intervient dans un contexte marqué par la pandémie du coronavirus (Covid-19), le ministre a souligné que "l'Algérie a réalisé des progrès notables en matière de prévention et de lutte contre les maladies infectieuses, des efforts qui lui ont permis d'obtenir plusieurs certificats d'élimination de nombre d'entre elles délivrés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS)".
Dans ce cadre, M. Benbouzid a cité les certificats d'élimination de la Poliomyélite en 2016, du Tétanos chez la femme enceinte et le nouveau-né en 2018 et du paludisme en 2019.
L'Algérie poursuit ces efforts "pour l'élimination de la rougeole, de la rubéole et du trachome avant fin 2022", a-t-il ajouté, qualifiant ces résultats réalisés grâce au travail de l'ensemble des professionnels du secteur, d'"encourageants".
Le ministre a défini la médecine des maladies infectieuses comme une pathologie générale qui englobe toutes les spécialités, appelant à proposer des stratégies ciblées pour prévenir les facteurs endogènes associés à l'émergence de nouvelles maladies bactériennes.
Les différentes pandémies qu'a connues le monde au cours des dernières décennies, ont prouvé son impuissance face aux maladies contagieuses émergentes, a affirmé le ministre, précisant qu'en dépit de la mutation épidémiologique, "ces maladies représentent un grand problème pour la santé publique".
Et d'ajouter que les dernières statistiques de l'OMS indiquent que "ces maladies sont responsables de 43% de la charge des maladies, en général, précisant que leur élimination sera bénéfique pour la santé publique et l'économie".
M. Benbouzid a, par ailleurs, évoqué la résistance aux antibiotiques qui est devenue un problème majeur pour la santé publique, nécessitant l'intervention de plusieurs spécialités. Ce problème a constitué, au cours des dernières décennies, un risque grandissant qui entrave l'efficacité du traitement de certains cas émergents et d'autres nouveaux cas, voire une menace pour la santé mondiale, la sécurité alimentaire et le développement.
Le premier responsable du secteur de la santé a en outre indiqué que les antibiotiques impliquent d'importants frais sans compter qu'ils prolongent la durée de la maladie et de convalescence, rappelant le plan stratégique mis en place par l'Algérie dans ce domaine, en adéquation avec le plan d'action mondial de lutte contre la résistance aux antibiotiques.
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Site éditeur :
