← Accueil Santemaghreb.com
Accès aux sites pays
ALGERIE
MAROC
TUNISIE

Responsable éditorial :
Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
Note du 14/11/2019 17:46:32.
Le 1er Prix « Tedjini Haddam » décerné au Pr Jean-Paul Grangaud
Note du 05/11/2019 11:03:27.
Ouverture des inscriptions au Certificat de sur-spécialisation en hépatologie, gastro-entérologie et nutrition pédiatrique
Note du 30/07/2019 16:07:29.
> Consulter tous les programmes
> Consulter toute la documentation
Djillali Belkhenchir est ne le 30 mars 1941 à Oued Rhiou (Relizane). Sa vie a été marquée par une volonté constante de faire coïncider son métier de médecin et sa conviction profonde que l'être humain est un tout dont il faut considérer chacun des aspects avec une égale et bienveillante attention.
> Consulter toutes les biographies
A l'occasion du 150ème anniversaire de la création de l'école de Médecine d'Alger , le professeur ABID a essayé de retracer les principales étapes de cette école depuis la rue René Caillé dans le quartier Bab Azzouz jusqu'à ce jour où elle est eclatée sur plusieurs sites. Il se peut qu'au cours de l'évocation de certains évènements des erreurs se soient glissées. De même que nous ayons omis de citer des noms de personnalités ayant fait cette faculté. Aussi nous demandons à tous ceux et toutes celles qui peuvent nous aider à compléter cette histoire de bien vouloir se rapprocher du site.
Il y a actuellement 18897 articles disponibles dans la Revue de presse
El Moudjahid | Algérie | 13/09/2020 | Lire l'article original
Les médecins de soins intensifs, qui soignent pourtant les malades les plus graves, sont moins susceptibles d'avoir été infectés par le coronavirus que leurs confrères d'autres services, voire que les agents d'entretien des hôpitaux, selon une étude britannique parue vendredi.
Cela pourrait notamment s'expliquer par le fait qu'ils ont reçu en priorité des équipements à haut niveau de protection, comme des masques, avancent les auteurs de ces travaux, publiés dans la revue médicale Thorax.
« Nous présumions que les professionnels des soins intensifs couraient un risque plus élevé (...) mais ils sont relativement bien protégés par rapport à d'autres», a commenté l'auteur principal de l'étude, Alex Richter, professeur d'immunologie à l'université de Birmingham.
L'étude porte sur plus de 500 membres du personnel d'hôpitaux de Birmingham, qui étaient tous en poste fin avril, alors que l'épidémie faisait rage et que le confinement était en vigueur au Royaume-Uni. A ce moment-là, ces hôpitaux accueillaient en moyenne cinq malades du Covid-19 par heure. Les chercheurs ont soumis les participants à l'étude à un test sérologique, pour voir s'ils avaient été précédemment infectés.
Au total, 24% des participants avaient développé des anticorps prouvant une infection passée due au coronavirus, contre 6% dans la population générale de cette région de l'Angleterre. Mais ce taux variait selon la catégorie de personnels. Il était le plus bas chez les professionnels de soins intensifs (15%), contre environ 30% dans les services de médecine interne générale et 34,5% chez les agents d'entretien.
En plus de la question des équipements, cela pourrait s'expliquer par le fait que les professionnels de soins intensifs sont plus rompus à appliquer rigoureusement des mesures de prévention des infections, a commenté un professeur d'anesthésie à l'université de Bristol, Tim Cook.
En outre, selon lui, cela pourrait également venir du fait que les patients les plus gravement atteints et donc avancés dans la maladie sont moins contagieux que ceux pour qui l'infection est plus récente.
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Site éditeur :
