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Professeur Larbi Abid
Des médecins cubains en Algérie
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Né en 1882 à Saint-Loup en Haute Saône, au cours d’un séjour en Métropole de sa famille, son père était médecin-militaire, puis accomplissait une brillante carrière médicale, maire de Sétif pendant 34 ans, Député puis Sénateur du Constantinois.
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Le corps médical algérien est aujourd'hui largement féminisé. Dans le secteur public, toutes filières et grades confondus, le taux de femmes est légèrement supérieur à la moitié : 50,93 % exactement selon les statistiques du ministère de la santé. La santé est le domaine où la parité est atteinte, à la différence des administrations, des autres professions libérales, de l'industrie, des assemblées élues et des exécutifs.
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El Moudjahid | Algérie | 13/09/2020 | Lire l'article original
Les médecins de soins intensifs, qui soignent pourtant les malades les plus graves, sont moins susceptibles d'avoir été infectés par le coronavirus que leurs confrères d'autres services, voire que les agents d'entretien des hôpitaux, selon une étude britannique parue vendredi.
Cela pourrait notamment s'expliquer par le fait qu'ils ont reçu en priorité des équipements à haut niveau de protection, comme des masques, avancent les auteurs de ces travaux, publiés dans la revue médicale Thorax.
« Nous présumions que les professionnels des soins intensifs couraient un risque plus élevé (...) mais ils sont relativement bien protégés par rapport à d'autres», a commenté l'auteur principal de l'étude, Alex Richter, professeur d'immunologie à l'université de Birmingham.
L'étude porte sur plus de 500 membres du personnel d'hôpitaux de Birmingham, qui étaient tous en poste fin avril, alors que l'épidémie faisait rage et que le confinement était en vigueur au Royaume-Uni. A ce moment-là, ces hôpitaux accueillaient en moyenne cinq malades du Covid-19 par heure. Les chercheurs ont soumis les participants à l'étude à un test sérologique, pour voir s'ils avaient été précédemment infectés.
Au total, 24% des participants avaient développé des anticorps prouvant une infection passée due au coronavirus, contre 6% dans la population générale de cette région de l'Angleterre. Mais ce taux variait selon la catégorie de personnels. Il était le plus bas chez les professionnels de soins intensifs (15%), contre environ 30% dans les services de médecine interne générale et 34,5% chez les agents d'entretien.
En plus de la question des équipements, cela pourrait s'expliquer par le fait que les professionnels de soins intensifs sont plus rompus à appliquer rigoureusement des mesures de prévention des infections, a commenté un professeur d'anesthésie à l'université de Bristol, Tim Cook.
En outre, selon lui, cela pourrait également venir du fait que les patients les plus gravement atteints et donc avancés dans la maladie sont moins contagieux que ceux pour qui l'infection est plus récente.
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