Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE


MOOC : COVID-19 et soins critiques - Informations et inscriptions



Suivez-nous :



Affiche prévention Covid-19 Algérie


Messages clés et actions pour la prévention et le contrôle de la COVID-19 dans les écoles

Lire le document (PDF UNICEF)


OMS Afrique - Faire face au stress durant la flambée de maladie à coronavirus COVID-19

Faire face au stress durant la flambée de maladie à coronavirus COVID-19


Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.



OMS Afrique - Questions-réponses

Qu'est-ce qu'un coronavirus ?

Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).


OMS Afrique - Conseils au grand public - En finir avec les idées reçues

Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides

D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.


OMS Afrique - Conseils au grand public - Quand et comment utiliser un masque ?

  • Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d'une personne présumée infectée par le Covid-19 ;
  • Portez un masque si vous toussez ou éternuez ;
  • Le masque n'est efficace que s'il est associé à un lavage des mains fréquent avec une solution hydroalcoolique ou à l'eau et au savon ;
  • Si vous portez un masque, il est important que vous sachiez l'utiliser et l'éliminer correctement.



Dossier : Coronavirus COVID-19


ACTUALITES


Fluctuation de la courbe des contaminations : Omicron, l’arbre qui cache la forêt - Liberté-Algérie - Algérie - 10/02/2022

Les spécialistes s’accordent à dire que les chiffres officiels ne peuvent refléter la réalité tant que l’on n’a pas procédé à un dépistage systématique de la population.

Cela fait plusieurs jours que l’on assiste à une baisse significative du nombre des cas de Covid 19 à travers le pays. Le nombre de contaminations a atteint 378 nouveaux cas par jour, cependant l’augmentation des cas lors du dernier bilan, pour atteindre 610 nouvelles contaminations par jour, suscite l’inquiétude de la population.

Selon des scientifiques, “les chiffres annoncés ne prennent en considération que les cas testés par la technique de la PCR car nous n’avons pas un système qui puisse prendre en considération toutes les techniques de diagnostic”.

“Epidémiologiquement parlant, les fluctuations sont possibles. Toute épidémie évolue en dents de scie. En effet, Il y a des périodes où le nombre de contaminations et de décès augmentent et d’autres où les chiffres baissent avec des périodes où la courbe est aplatie (plateau). Je peux aussi dire que les dernières fluctuations confirment que le variant Omicron a pris le dessus.
Il se propage rapidement et l’on enregistre des flambées de temps à autre. Je peux même prédire qu’il y aura une augmentation du nombre de nouveaux cas dans les prochains jours.

D’après le dernier communiqué de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA), il y a une dominance d’Omicron. Conjuguée au relâchement, la dominance dudit variant favorisera son rebondissement car il se propage comme on l’a toujours dit très rapidement, voire de manière exponentielle”, a confié à Liberté le Dr Mohamed Melhag, chercheur en virologie et ancien biologiste de laboratoire d’analyses.

Même son de cloche chez le Dr Zahira Halfaia, épidémiologiste à l’établissement public de santé de proximité de Sétif, qui estime que “les fluctuations constatées ces derniers jours ne sont pas inquiétantes car les chiffres ne prennent en considération que les tests PCR et que l’on ne procède pas au dépistage systématique. On peut dire qu’il s’agit d’un échantillon qui ne traduit pas tout à fait la réalité, mais qui donne une idée de la tendance et, du coup, aide à prendre les décisions idoines au moment opportun afin de mieux gérer la situation.”
Le Dr Halfaia ajoute que l’on ne peut parler de grandes fluctuations qu’au cas où les chiffres baisseraient ou augmenteraient de façon vertigineuse.
Cependant, la praticienne a tenu à préciser qu’il est constaté une baisse significative des contaminations chez les personnes qui se présentent au niveau des structures de santé.
Elle a, par ailleurs, indiqué que malgré la tendance baissière, nous ne sommes pas encore sortis de la quatrième vague et qu’il faut attendre encore quelques jours s’il n’y a pas apparition d’une nouvelle souche ou d’un nouveau variant.

De son côté, le Dr Melhag estime que “le Ba2 décrit par l’IPA est très rapide, il se propage à une vitesse exponentielle par rapport au Ba1. La logique dit qu’il va prendre le dessus.
À mon avis, nous sommes toujours dans la quatrième vague”. Notre interlocuteur plaide pour une application stricte des mesures de prévention, dont les gestes barrières et les protocoles sanitaires et, surtout, la vaccination.

“Pour absorber l’onde de choc, il faut cohabiter et ne pas baisser la garde. On est en train d’encercler le virus et pour réussir, il faut maintenir lesdites mesures. Il ne faut pas oublier que selon l’OMS, Omicron est toujours dangereux car depuis sa classification au mois de novembre comme variant inquiétant, il a tué 500 000 personnes à travers le monde. Le nombre de décès est ainsi l’un des indicateurs de dangerosité”, conclut le Dr Melhag.

FAOUZI SENOUSSAOUI

Lire l'article original

Consulter toutes les actualités



Formation - MOOC

MOOC : COVID-19 et soins critiques - Informations et inscriptions

Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations



CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !