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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
On n’en a pas encore fini avec Omicron et ses petits. Sa propagation a fait, depuis sa détection en Tunisie, de nouvelles contaminations et des cas d’hospitalisation. Sans pour autant signaler aussi de complications, et ce contrairement au variant Delta. Sauf un certain nombre de cas dans un état critique, majoritairement des patients non vaccinés ou souffrant de maladies chroniques. Donc des sujets à faible immunité.
Il y a deux semaines ou presque, on avait entendu parler de la fin de cette cinquième vague de pandémie. Nos spécialistes le prétendaient aussi. Hechmi Louzir, directeur de l’Institut Pasteur et président de la commission de la campagne nationale de vaccination contre Covid-19, croyait que le pic aurait dû être atteint depuis au moins une quinzaine de jours. Et que la courbe des contaminations serait, par la suite, revu à la baisse. Toutefois, l’homme, semble-t-il, se trompe toujours dans ses prévisions. Car, Omicron n’a pas cessé de nous montrer ses griffes, quitte à déclencher un début de crise sanitaire. Force est de constater, ces derniers jours, que le bilan s’alourdit, recensant plus de 8.000 nouvelles contaminations, sur un total de plus de 22 mille tests de dépistage effectués en date du 31 janvier 2022. Soit un taux de positivité bien au-delà de 36%.
Dans la foulée, il y a de quoi rassurer sur l’amélioration de la situation épidémiologique. Cette fois-ci, c’est le ministre de la Santé lui-même qui vient de communiquer sur la fin imminente de cette vague d’Omicron. Cette information intervient suite à sa déclaration faite récemment à la TAP. Et le ministre Ali Mrabet d’estimer que cette vague devrait prendre fin, au plus tard, durant la semaine prochaine. Sur sa lancée, il a précisé que la fréquentation des hôpitaux devrait augmenter une semaine après le pic d’Omicron. Quant au pic des décès, précise-t-il encore, il devrait être observé deux semaines après celui des contaminations. Sans tarder, le comité scientifique de lutte anti-Covid-19 avait confirmé ce qu’avait dernièrement déclaré le ministre de la Santé. Il a affirmé que la fin de la 5e vague Omicron était prévue pour cette semaine.
Qu’en est-il du sous variant d’Omicron ? Aucune contamination à ce nouveau sous-variant n’a été détectée, à ce jour, en Tunisie, fait savoir Dr Amine Selim, membre du Comité scientifique pour la lutte contre le coronavirus. Et d’affirmer que le BA.1 Omicron demeure le sous-mutant dominant en Tunisie, soulignant que des infections à ce sous-variant ont été alors enregistrées en Algérie. Et le ministère de la Santé fait régulièrement le point de la situation. Chiffres officiels à l’appui, le pays compte actuellement 6 260 918 personnes entièrement vaccinées, dont 1 647 884 autres ont reçu, jusqu’au 1er février, une seule dose de vaccin.
Kamel FERCHICHI
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
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