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Tenez-vous au courant des dernières informations sur la flambée de COVID-19, disponibles sur le site Web de l'OMS et auprès des autorités de santé publique nationales et locales.
Qu'est-ce qu'un coronavirus ?
Les coronavirus forment une vaste famille de virus qui peuvent être pathogènes chez l'homme et chez l'animal. On sait que, chez l'être humain, plusieurs coronavirus peuvent entraîner des infections respiratoires dont les manifestations vont du simple rhume à des maladies plus graves comme le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le dernier coronavirus qui a été découvert est responsable de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
Le virus de la COVID-19 peut se transmettre sous les climats chauds et humides
D'après les données dont on dispose jusqu'à présent, le virus de la COVID-19 peut se transmettre dans TOUTES LES RÉGIONS, y compris les zones chaudes et humides. Indépendamment du climat, prenez des mesures de protection si vous vivez ou si vous vous rendez dans une zone où il y a des cas de COVID-19. Le meilleur moyen de se protéger contre l'infection est de se laver souvent les mains. Le lavage des mains élimine les virus qui pourraient s'y trouver et évite qu'on ne soit contaminé en se touchant les yeux, le nez ou la bouche.
ALGER - L'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) a rappelé samedi "l'urgence de l'adhésion" à la vaccination afin de "contrôler la circulation des virus et par là les variants", notamment le variant B.1.1.529 (Omicron), signalé pour la première fois à l'OMS par l'Afrique du Sud le 24 novembre dernier.
"Les mesures barrières (port de masques de protection, distanciation physique et lavage fréquent des mains) gardent toute leur importance face à cette pandémie", a souligné l'IPA dans une note, mettant en garde que "plus le virus circule, plus la probabilité d'apparition de variants est élevée".
Retraçant les circonstances de l'apparition du nouveau variant, il a relevé que la situation épidémiologique en Afrique du Sud s'est caractérisée par "trois pics distincts de cas signalés, dont le dernier concernait principalement le variant Delta".
"Ces dernières semaines, les infections ont connu une forte augmentation, coïncidant avec la détection du variant B.1.1.529. La première infection confirmée connue du B.1.1.529 provenait d'un spécimen prélevé le 9 novembre 2021", a précisé la même source.
"Ce variant présente un grand nombre de mutations, dont certaines sont préoccupantes (plus de 30 mutations concomitantes)", a détaillé l'Institut Pasteur d'Algérie, prévenant que les données préliminaires suggèrent un "risque accru de réinfection avec ce variant, par rapport aux autres variants préoccupants".
"Le nombre de cas semble augmenter dans presque toutes les provinces d'Afrique du Sud. Les diagnostics PCR actuels du SRAS-CoV-2 continuent de détecter cette variante. Plusieurs laboratoires ont indiqué que pour un test PCR largement utilisé, l'un des trois gènes cibles n'est pas détecté (appelé S gene dropout ou S gene target failure) et ce test peut donc être utilisé comme marqueur de cette variante, en attendant la confirmation par séquençage", a encore indiqué l'IPA.
"Le nouveau variant B. 1.1.529 a été désigné par l'OMS comme préoccupant (V.O.C) et nommé Omicron", a ajouté la même source, observant que, outre l'Afrique du Sud, il a été détecté également au Malawi, au Botswana, en Belgique et à Hong Kong.
Dans le contexte épidémiologique actuel et l'afflux important de patients présentant une atteinte respiratoire grave liée au SARS-CoV-2 (COVID-19), il est nécessaire de disposer d'outils de formation accélérée à la prise en charge de la défaillance respiratoire chez ces patients afin de rendre opérationnel un maximum de professionnels de santé.
C'est tout l'objet de ce cours qui se présente sous forme d'un « mini MOOC » qui nécessite 2 heures d'investissement au maximum. Plus d'informations
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