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Algérie Urologie, du nouveau

Le quotidien d'Oran | Algérie | 25/04/2009 | Lire l'article original

«Nous venons de créer, aujourd'hui même 23 avril, la Société Algérienne d'Uro-Dynamique et de Pelvi-Périnéologie (SALUDPP), pour répondre à un besoin important et combler un vide qui existe chez nous car, dans la majorité des autres pays, cette société existe», a déclaré le professeur Dahdouh en annonçant la création de cette nouvelle société médicale qui aura son siège à Constantine. C'est au cours d'une conférence de presse tenue en marge des IVes journées nationales d'urologie organisées à l'université Emir Abdelkader, les 23 et 24 avril, par l'Association constantinoise des urologues (ASUR), que ce praticien a fait cette annonce.

Rappelons que ces journées nationales ont réuni des spécialistes de différentes disciplines médicales venus des quatre coins de l'Algérie et de l'étranger. Elles se sont tenues sur les thèmes scientifiques de «l'uro-dynamique et de l'incontinence urinaire chez la femme».

Le conférencier, président de l'ASUR et chef de service d'urologie et de transplantation rénale à l'EHS Daksi de Constantine, définissant la mission de cette nouvelle société fondée par des urologues, des gynécologues, rééducateurs, radiologues, chirurgiens viscéralistes et autres, a tenu à préciser que «ce ne sera pas une société qui s'occupera du social mais qui a un caractère scientifique, dont la mission sera de réunir le savoir et de le transmettre à ses membres, de servir de lien entre les différents spécialistes et de représenter l'Algérie dans les congrès de la spécialité qui se tiendront au niveau international.

Elle doit se pencher également sur l'importante question de l'organisation des ressources humaines médicales qui se pose avec acuité en Algérie, car notre pays souffre d'un manque énorme de compétences médicales suffisantes».

Faisant un bref historique de ces journées d'urologie, il a souligné le caractère très actif de l'ASUR dans l'organisation des activités scientifiques et les nombreuses améliorations qualitatives et organisationnelles en matière de soins et de prise en charge des malades intervenues au niveau de l'EHS Daksi ainsi qu'en nombre d'interventions chirurgicales ou médicales.

«La greffe rénale est devenue chez nous une activité régulière qui ne nécessite aucune publicité et elle est bien prise en charge par une équipe homogène». Il a indiqué que l'uro-dynamique a été mise en place il y a une année, et a décrit cette méthode moderne de traitement qui permet d'avoir un diagnostic objectif de cet appareil.

Pour le thème de l'incontinence urinaire chez la femme, le Pr Dahdouh dira que ce n'est plus un tabou et qu'il faut en parler. Dans ce domaine, les statistiques, de sources européennes, donnent 30 à 4O% des femmes dans le monde souffrant d'incontinence. Chez nous, il n'existe pas encore de statistiques.

En outre, il a été relevé que certains consommables coûtent cher (40.000 dinars la bandelette de soutènement au niveau de l'urètre). Et en plus, l'intervention chirurgicale n'est pas remboursée par la sécurité sociale.

Aussi, beaucoup de femmes ne peuvent se permettre cela. «Pour nous, ces femmes doivent pourtant bénéficier d'une prise en charge, et cela en vertu du principe de l'équité en matière de soins, consacré par l'Organisation mondiale de la santé et par l'Algérie également», souligne le Pr Dahdouh.

Le conférencier a par ailleurs révélé, à propos de la question importante de dons d'organes, que les donneurs ne se bousculent pas et que cela reste une question d'information et de sensibilisation, du moment que la question de l'éthique ne se pose pas. «C'est l'éthique de la responsabilité qui doit prévaloir sur l'éthique de la conviction. Pour cela, je lance un appel à tous les intervenants, particulièrement aux médecins, aux médias et aux hommes de religion pour faire en sorte qu'il y ait plus de donneurs d'organes», termine le Pr Dahdouh.

Par A.Mallem

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