Accès aux sites pays Santé Maghreb en Algérie ALGERIESanté Maghreb au Maroc MAROCSanté Maghreb en Tunisie TUNISIE



encart_diam

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


encart_diam_strides

Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


vig_viral_facts


Vous souhaitez vous abonner à Médecine d'Afrique Noire, Médecine du Maghreb ou Odonto-Stomatologie tropicale ? Consulter des articles ? Rendez-vous sur le kiosque d'APIDPM - Plus d'informations


LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue


NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions


Revue de presse

Trier les actualités par :

Algérie D'une capacité de 150 000 pochettes : un nouveau centre de transfusion sanguine à l'EHU

Le quotidien d'Oran | Algérie | 27/10/2008 | Lire l'article original

Un centre de transfusion sanguine d'une capacité de 150.000 pochettes sera mis en service prochainement au niveau de l'EHU «1er Novembre» d'Oran, a-t-on appris en marge de la campagne de sensibilisation et de don de sang, organisée par la direction de la santé et de la population, à l'occasion de la célébration de la Journée nationale du don de sang, qui coïncide avec le 25 du mois d'octobre. Cette structure vient s'ajouter à quatre autres déjà fonctionnelles au niveau des établissements hospitaliers de «El-Mohgoun» et «Aïn El-Turck», la clinique de pédiatrie de la localité de «El-Menzah» (ex-Canastel) et le centre de transfusion sanguine du CHU d'Oran.

Ce centre, doté d'équipements modernes, permet la formation de ses effectifs pour prendre en charge au mieux l'opération de collecte de sang. En outre, le secteur de la santé à Oran a bénéficié d'un projet de réalisation d'un centre de transfusion sanguine, à l'est de l'agglomération d'Oran. Ces projets viennent à point nommé, puisque les besoins en sang sont en augmentation constante. D'autre part, le nombre de donneurs diminue. Cela est dû au manque de campagnes de sensibilisation et d'information. Cette situation est due au nombre élevé des accidents de la circulation et des agressions, nous dit-on. Dans ce cadre, une semaine de sensibilisation et de collecte de sang a été organisée par la direction de la santé et de la population en collaboration avec les établissements hospitaliers d'Aïn El-Turck, Canastel et El-Mohgoun à l'occasion de la Journée nationale du don et des donneurs célébrée le 25 octobre de chaque année.

« En dehors des opérations régulièrement organisées, celle-ci vise à travers sa nouveauté (le déplacement sur site), une plus grande facilitation à des donneurs potentiels composant une catégorie sociale répondant aux conditions que sont l'âge et la bonne condition physique », indique-t-on à la direction de la santé. Un programme de collecte mobile a été arrêté à cette occasion, et qui a ciblé les universités Mohamed Boudiaf, l'ENSEP, l'IGMO Es-Sénia et l'INESSM, les résidences universitaires et le personnel de l'entreprise portuaire d'Oran. D'autre part, des points de collecte mobiles ont été installés au niveau des structures extra-hospitalières de santé de proximité mitoyennes à certaines mosquées de la ville (ex-polyclinique de Haï Chouhada), Filaoucene, Bouâmama, etc.). Des clinomobiles, spécialement aménagées à cette fin, ont été mobilisées pour assurer à cette opération une grande réussite dans les meilleures conditions d'hygiène et de sécurité. Lancée le 19 octobre, cette campagne a eu un écho favorable auprès des jeunes, notamment chez la gent féminine avec 100 donneuses.

Cette opération a été clôturée hier. La direction concernée a décidé d'organiser ce genre d'actions chaque mois, du moment que le sang ne doit pas être conservé plus d'une vingtaine de jours. Du côté du centre de transfusion sanguine du CHU d'Oran, on apprend que 26.600 pochettes de sang ont été collectées l'année dernière, ce chiffre atteindra cette année les 27.000 pochettes selon les prévisions du même service, soit une petite évolution par rapport à l'année 2006. Selon notre source, même avec cette petite hausse dans le nombre des pochettes collectées, les donneurs se font de plus en plus rares. Cela est dû au manque de campagne de sensibilisation et d'information sur la « nécessité » de ce geste qui peut sauver une vie. Et d'ajouter que la majorité des donneurs le font parce qu'ils ont un membre de la famille ou un ami qui a besoin d'une poche de sang. Les donneurs réguliers ne représentent qu'un faible pourcentage du nombre global des donneurs recensés par le CTS. Cela s'ajoute au problème des évacuations des malades des autres wilayas.

Des cas qui, souvent, ont besoin de sang. Notons que dans le but d'attirer plus de volontaires, des directives ministérielles exigeant la meilleure prise en charge des donneurs ont été formulées. Les donneurs bénéficient automatiquement de test de qualification sérologique aux quatre marqueurs : VIH, hépatite B et C et syphilis. Dans le même contexte, et à compter d'octobre 2008, des centres pilotes seront informatisés pour prendre en charge toutes les étapes de la chaîne transfusionnelle, depuis l'enregistrement des donneurs de sang jusqu'à la distribution des produits sanguins labiles.

Par J. Boukraâ

Lire l'article original

Toute l'actualité


CONTACTEZ-NOUS

Adresse

  • Espace Santé 3
    521, avenue de Rome
    83500 La Seyne sur mer - France

Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation

CARTE DU SITE

Actualités

Bibliothèque

Multimedia

Web médical


Site éditeur :

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !