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Algérie Le casse-tête des déchets hospitaliers

Le quotidien d'Oran | Algérie | 18/10/2008 | Lire l'article original

Quelque 4.764 tonnes de déchets hospitaliers sont générées annuellement par les infrastructures de santé privées et publiques, selon un rapport présenté par la direction de l'Environnement lors des travaux de la dernière session ordinaire de l'APW. Le rapport indique que cette quantité de déchets spéciaux générée par un total de 118 structures privées et publiques est jetée soit dans les décharges publiques soit est incinérée dans de mauvaises conditions. Commentant le rapport, le directeur de la Santé et de la Population a indiqué que les déchets spéciaux des infrastructures hospitalières publiques sont soit incinérés soit enterrés au niveau d'un carré au cimetière, lorsqu'il s'agit d'organes amputés, entre autres.

L'opération d'enterrement de ces organes est gérée par un agent spécialisé. Pour ce qui est des déchets qui ne représentent aucun danger, ils sont jetés au niveau de la décharge d'El-Kerma. Le directeur a rappelé qu'actuellement Oran compte deux incinérateurs, un au niveau du CHU d'une capacité de 50 kg et un autre au niveau de l'Etablissement hospitalier universitaire 1er Novembre 54 d'une capacité de 500 kg. Et d'ajouter que, dans le cadre du programme 2009, il est prévue l'équipement de toutes les infrastructures hospitalières d'incinérateurs.

Concernant les cliniques privées, elles ne sont pas dotées d'incinérateurs. Néanmoins, des conventions ont été signées avec elles pour l'incinération des déchets au CHUO, mais en vain. Le wali a proposé la réalisation d'un incinérateur central. Un projet estimé à quelque 200 millions de dinars et devrait être proposé à l'inscription dans le cadre du plan quinquennal 2009-2013. Pour rappel, l'année dernière, 24 mises en demeure ont été adressées par la direction de l'Environnement aux cliniques privées pour l'élimination des déchets de soins à temps, soit avant la fin de l'année (2007).

Non dotées de cet équipement, ces structures trouvent beaucoup de difficultés à détruire les déchets, qui sont parfois stockés dans de mauvaises conditions. Ce qui représente un risque pour la santé et l'environnement. Dans le cadre de la loi en vigueur, toutes les structures hospitalières ont été notifiées par écrit en 2006, pour l'élimination des déchets spéciaux. Cependant aucune structure n'a répondu. Ainsi et afin de les pousser à penser à l'élimination de ces déchets, elles ont été informées de la taxe de déstockage, notamment que celle-ci est applicable depuis l'année dernière. Selon une première estimation, cette taxe a été fixée à 24.000 DA par tonne de déchets de soins.

Par J. Boukraâ

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