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Algérie Lancement de la 2ème phase de la campagne de lutte contre la leishmaniose cutanée : les APC sollicitent de l’aide

El Moudjahid | Algérie | 17/09/2008 | Lire l'article original

La deuxième phase de la campagne nationale d’aspersion rentrant dans le cadre de la lutte contre la leishmaniose cutanée a débuté hier, avec l'objectif de réduire le taux de l'endémie de 50%, a annoncé, lundi dernier à Alger, le directeur de la prévention au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, M. Ouahdi Mohamed. M. Ouahdi, qui intervenait lors d'une conférence de presse animée à l’Institut national de santé publique, a rappelé que la première phase de la campagne de prévention contre la leishmaniose a eu lieu en avril et que la deuxième, s'inscrivant dans le cade du plan national pour la prévention des leishmanioses, qui a débuté lundi, vise la réduction du taux de l'endémie de 50%.

Tout en affirmant que le plan national de lutte contre cette maladie a été arrêté à Batna, lors du quatrième séminaire sur la leishmaniose, il a relevé que ce programme de prévention intersectoriel prévoit une diminution sensible de cette maladie vectorielle dans ses foyers traditionnels.
De son côté, le Dr Selimi Djamel a souligné que la réunion du comité pour l'évaluation de la précédente campagne "avait relevé un nombre de points positifs, dont entre autres 75% des foyers recensés ont été touchés par la campagne d’aspersion, comparativement à 55% en 2006".

Il a, néanmoins, relevé que le comité avait soulevé un nombre de points négatifs, illustrant son propos par la manière "peu correcte" utilisée dans certaines wilayas dans la campagne d'aspersion.
Selon Dr Selimi, le nombre de cas de leishmaniose recensé jusqu'à septembre 2008 est de 4090 cas, "ce qui ne plaide pas, a-t-il dit, pour une réduction de 50% du taux de cette endémie pour l'année en cours". Il a, dans ce contexte, affirmé que le pic d'alerte a été relevé en 2005 où 30227 cas ont été recensés.

"La prise de conscience quant à la gravité de la situation a permis de réduire cette endémie de 50 % pour l'année 2006, soit 14379 cas, et 6764 cas pour l'année 2007".
Pour le Dr Boualem Tchicha de l'Institut national de santé publique, "il est impossible de songer à l'éradication de la maladie pour des raisons liées à la biodiversité", affirmant qu"'il est plus rentable d'orienter les efforts à la réduction de cette endémie à travers la prévention et la campagne nationale d'aspersion".
S'agissant des raisons qui expliquent le pic d'infestation exceptionnelle par le rongeur en 2005, M. Ouahdi Mohamed a cité la dégradation du cadre de vie et de l'hygiène du milieu, l'urbanisation anarchique et le rapprochement des habitations des sites ruraux de prédilection des rongeurs sauvages, ainsi que les changements climatiques qui favorisent la prolifération de ce genre de rongeur principal vecteur de cette maladie.

Intervenant sur la question de la prévention, le représentant du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, M. Khaldi Taha Haïdar, a relevé "l'incapacité" des Assemblées populaires communales (APC) à prendre en charge la campagne d'aspersion.
Il a rappelé, à ce sujet, le refus exprimé par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales de financer cette campagne et la laisser à la charge exclusive des APC.
C'est dans ce contexte qu'il a, également, rappelé la proposition du ministre pour la création d'un établissement qui prendra en charge la lutte contre les maladies vectorielles.
"Il ne faut plus continuer de faire comme par le passé", a-t-il soutenu, ajoutant que "les APC n'ont pas les moyens financiers pour prendre en charge ce genre d'opérations".
M. Ouahdi a, de son côté, relevé que "les résultats obtenus depuis le lancement de la campagne nationale de prévention sont le fait de son caractère multisectoriel".

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