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Algérie Hôpital de M’chedallah : manque de spécialistes et de chirurgiens

El Watan | Algérie | 02/09/2008 | Lire l'article original

L’ouverture d’une nouvelle structure hospitalière (un bloc opératoire) à M’Chedallah il y a de cela quelques années -faut-il le dire- a suscité beaucoup d’espoir au sein de la population locale, mais les choses semblent bien mal tourner depuis. L’hôpital continue à patauger, et les efforts consentis par le passé donnent bien l’impression de tomber à l’eau. En effet, dans un premier temps, cette structure a permis à la population d’éviter les longs déplacements vers les hôpitaux limitrophes, à l’image de celui d’Akbou ou de Bouira, surtout que des médecins, spécialistes en particulier, ont été conventionnés et assuraient bien leur mission dans le cadre restreint du service civil.

Mais, force est de se rendre à l’évidence que l’engouement et le bonheur qu’a procurés l’ouverture de ce bloc opératoire n’a duré que le temps de l’émotion chez la population, qui ne comprend toujours pas le manque criant en matière d’encadrement médical spécialisé, à savoir anesthésistes, chirurgiens et paramédicaux, ayant surgi quelques mois seulement après. Certains parmi les praticiens ont tout bonnement quitté pour s’installer à leur propre compte, d’autres, faute de renouvellement du contrat ou de non-recrutement, se sont retrouvés ailleurs, ce à quoi s’ajoutent les affectations opérées au profit d’autres établissements hospitaliers.

« La majorité des chirurgiens qui exercent dans ce bloc opératoire n’y travaillent pas à temps plein puisqu’ils ont tous des cabinets privés et leur contribution se fait en vertu des conventions qu’ils ont signées avec la direction de l’EPH », atteste, éploré, un patient qui attend toujours son tour pour être opéré d’une vésicule biliaire avant de conclure que l’Etat doit régulariser les spécialistes et les chirurgiens, et ce, argue-t-il, en mettant à leur disposition tous les moyens leur permettant une stabilité socioprofessionnelle.

Le cas de la régularisation en urgence du problème des logements de fonction au profit des spécialistes est revendiqué avec force de ce côté. Une mesure considérée comme étant un palliatif au manque déjà constaté. Pour se rendre à l’évidence, une virée dans le service des urgences suffisait amplement pour nous édifier sur le bricolage caractérisant cet hôpital et par extension, les services sanitaires dans cette commune, chef-lieu de daïra de surcroît. Grande fut, en effet, notre surprise de réaliser que nonobstant l’effet boule de neige des patients qui y affluent, ce service ne tourne désormais qu’avec un seul médecin qui assure la permanence.

Des dizaines de personnes malades s’y agglutinent chaque jour que Dieu fait, restant parfois des heures durant dans l’espoir d’une hypothétique consultation. Et dire que cet hôpital, qui est situé à environ 10 km de la tristement célèbre RN5, où surviennent quotidiennement des accidents de la route, pourrait prendre en charge tous les admis en urgence. Ainsi donc, la construction de nouvelles structures sanitaires doit impérativement être suivie d’un accompagnement en matière d’encadrement.

« A défaut de pouvoir prendre en charge les patients admis en urgence, cet hôpital qui a connu une extension importante, demeurera pour toujours un simple lieu de transit », dira un diabétique, sexagénaire, habitué du coin.

Par Ahcène Saoudi

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