Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

LE KIOSQUE APIDPM

Médecine d'Afrique Noire
Consulter la revue

Médecine du Maghreb
Consulter la revue

Odonto-Stomatologie Tropicale
Consulter la revue

Restez informés : recevez, chaque jeudi, la lettre d'informations de Santé Maghreb.

Inscriptions et désinscriptions

Revue de presse

Trier les actualités par :

L'enquête sur les maladies «cécitantes» achevée

Le quotidien d'Oran | Algérie | 30/07/2008 | Lire l'article original

L'enquête de dépistage des pathologies cécitantes, lancée en mars dernier, par la direction de la Santé et de la Population de la wilaya d'Oran, vient d'être achevée, en attendant la communication des résultats, au mois d'octobre prochain, à l'occasion de la Journée nationale de la vue. Selon la DSP, l'opération «s'est très bien déroulée, grâce notamment à la collaboration et à la forte implication de la population». La même source rappelle que l'enquête qui a ciblé les personnes âgées de 40 ans et plus, a touché pas moins de 807 ménages répartis sur 22 districts de la wilaya, dont 14 à Oran, 04 à Es-Sénia, 03 à Arzew et 01 à Aïn El-Turck.

Parmi les 1.078 personnes recensées qui ont été convoquées pour l'objet de ce dépistage, 1.024 ont répondu à l'appel, soit un taux d'adhésion de près de 95%.

L'enquête qui a bénéficié, selon la DSP, d'une enveloppe de 5 milliards de centimes, a mobilisé 1 coordinateur, 02 superviseurs, 12 ophtalmologistes et 20 enquêteurs, pour lesquels une dizaine de points de consultations ont été consacrés.

«L'étude est une enquête descriptive transversale dont l'objectif est de déterminer la prévalence des différentes causes de cécité. En effet, la cataracte, le glaucome, les pathologies rétiniennes, la rétinopathie diabétique, la DMLA et la myopie forte et ses complications représentent un risque à la cécité. L'enquête tend justement à évaluer ce risque afin de mesurer la prévalence de ces pathologies chez les personnes âgées de plus de 40 ans», explique-t-on auprès de la DSP.

Par H. Barti

Lire l'article original

Toute l'actualité