Revue de presse

Plusieurs études présentées, au cours de cette rencontre internationale, ont révélé que 44% des décès des malades atteints de psoriasis été dus a des facteurs cardiovasculaires et que le psoriasis réduisait l’espérance de vie de 10 années. «Cette maladie exige un traitement à long terme» estime les spécialistes présents à Istanbul.
Une réunion entre experts et journalistes venus de plusieurs pays dont l’Algérie a eu lieu en marge du congrès européen à la salle des meetings qui s’est tenue le 23 mai dernier. Cette séance de travail a permis aux représentants des médias de s’informer sur RAPTIVA qui est le nom commercial du médicament EFALIZUMAB des laboratoires Merck Serono qui est la seule alternative thérapeutique actuellement pour les malades atteints de psoriasis.

Le professeur Andréas Katsambas de l’université d’Athènes (Gréce) a présenté au cours de cette rencontre avec la presse une communication portant sur une étude clinique menée sur des malades atteints de psoriasis traités par Raptiva sur une durée de 10 ans touchant prés de 50000 personnes.
Le conférencier soulignera que «contrairement aux traitements traditionnels Raptiva donne des résultats au bout des 3 premiers mois du traitement».
Le professeur Kim Papp président de probité recherche médical waterloo (canada) a, quant à lui, présenté une communication intitulée trois ans d’efficacité et de sécurité du traitement continu par Raptiva.

Le professeur Nilsel Ilter secrétaire générale de l’EADV a, de son coté, mis l’accent sur l’importance de prendre en charge cette pathologie inflammatoire qu’est le psoriasis pour éviter, selon ses termes, ces complications fâcheuses.
Il convient de souligner que se work shop media a été présidé par le professeur Mehmet Ali Gurer président de la cinquième édition de l’EADV.
Notons qu’en Algérie, une enveloppe financière de plus de cent millions de dinars a été allouée pour l’achat du médicament pour traiter les cent malades atteints de psoriasis grave recensés selon certains spécialistes. Les chiffres réels devraient être communiqués par le ministère de la Santé, nous a t-on dit.

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