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Maroc Le Maroc enregistre 300 nouveaux cas par an

Aujourd'hui Le Maroc | Maroc | 22/01/2008 | Lire l'article original

Les déficits immunitaires primitifs qui restent méconnus au Maroc touchent un cas sur 5000 naissances dans le monde. 300 nouveaux cas sont recensés chaque année au Maroc. Les déficits immunitaires primitifs (DIP) touchent 300 nouveaux cas par an au Maroc. Ils constituent un ensemble hétérogène d’affections caractérisées par une insuffisance primitive des moyens de défense contre les micro-organismes. «Les DIP, le plus souvent héréditaires affectent le système immunitaire. Les enfants atteints de la maladie souffrent d’infections aiguës et sont très sensibles aux maladies infectieuses», affirme à ALM le Pr Ahmed Aziz Bousfiha, président de l’Association Hajar et du Groupe d’étude marocain de déficit immunitaire primitif. Au Maroc, l’incidence des DIP serait plus élevée que dans les pays occidentaux en raison du fort taux de consanguinité qui est de 19,9%. Les DIP regroupent près de 100 maladies héréditaires différentes et peuvent être scindés en quatre groupes : les déficits de l’immunité humorale, les déficits de l’immunité cellulaire, les déficits de l’immunité non spécifique et les déficits immunitaires associés à d’autres affections.

Les déficits immunitaires primitifs qui touchent un cas pour 5.000 naissances dans le monde peuvent apparaître chez des personnes de tout âge.
Les premières descriptions de ces maladies ont été faites chez des enfants ; l’expérience médicale a ensuite permis de diagnostiquer des déficits immunitaires primitifs chez de nombreux adolescents et adultes. Pour faire face à la maladie, le traitement repose essentiellement sur les antibiotiques, les perfusions d’immunoglobulines qui sont des moyens permettant de pallier les dysfonctionnements des anti-corps fabriqués par l’organisme. «Dans les cas les plus graves, il faut avoir recours à la greffe de la moelle osseuse. Ce type d’opération n’existe malheureusement pas au Maroc et coûte relativement cher. En France, cette opération s’élève à 2 millions de dirhams alors qu’en Espagne et en Italie, elle revient à un million de dirhams. Pour ce qui est des injections, il faut compter 2.500 dirhams et ce à raison d’une injection par mois. Dans ce cas, le malade est dans l’obligation de poursuivre le traitement durant toute sa vie», indique Pr Bousfiha. En plus d’un traitement relativement onéreux, il est navrant de constater qu’il existe un seul centre de soins et deux pédiatres spécialisés pour ce type de pathologies dont le Pr Bousfiha et le Pr Fatima Ailal sur tout le Royaume.

La thérapie génique par transfert d’un gène sain capable de suppléer le gène défaillant constitue l’espoir pour guérir les enfants et les adultes atteints par les DIP.

Par : Leila Zerrour

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