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Algérie Le don de sang : un geste à généraliser

El Watan | Algérie | 02/01/2008 | Lire l'article original

Le sang a une durée de conservation très limitée et a besoin d’être renouvelé fréquemment. Des sources proches du centre de transfusion sanguine font part d’une certaine inquiétude en ce qui concerne le renouvellement des stocks de sang, surtout celui appartenant à des groupes rares comme le 0 négatif entre autres. On ne parle pas de pénurie, mais de réserve insuffisante en cas de nécessité au niveau d’un secteur sanitaire à vocation régionale comme celui d’Oran. D’autant que le sang reste une substance dont la durée de conservation est très limitée et donc a besoin d’être renouvelé fréquemment. Devant cette situation, nos sources déplorent le peu d’engouement des citoyens lorsqu’il s’agit de donner un peu de leur sang, sachant parfaitement que les personnes en bonne santé ne courent aucun risque et que la quantité offerte par un individu normalement constitué peut se reconstituer dans les 24 heures qui suivent le prélèvement.

C’est en moyenne une petite dizaine de volontaires par jour à se présenter au centre pour offrir un peu de leur sang, dans une ville qui compte plus d’un million d’habitants. Les donneurs attitrés seraient de moins en moins réguliers, semblent-ils, et les personnes au groupe sanguin considéré comme étant rare et qui ont accepté de laisser leurs coordonnées pour être appelés par le centre de transfusion en cas d’urgence, sont souvent aux abonnés absents. Dans les cas pouvant nécessiter une transfusion sanguine pour compenser les pertes en cas d’interventions chirurgicales considérées comme lourdes, c’est aux membres de la famille qu’il incombe de « se débrouiller » le précieux liquide pouvant manquer à leur malade. La quantité collectée en pareille occasion est utilisée pour reconstituer les stocks de la banque du sang.

Manque d’initiative

Pour certains citoyens, ce sont les associations des donneurs de sang qui manquent d’initiative, elles regroupent pourtant plusieurs centaines d’adhérents. Ce serait à ces associations de lancer des campagnes auprès des citoyens afin de les sensibiliser sur l’importance et la noblesse du geste humanitaire qui consiste à donner un peu de son sang qui peut souvent sauver une vie, « peut-être celle d’un proche ou même la leur, car un accident peut arriver… », a confié une infirmière rencontrée sur les lieux. Certains donneurs occasionnels se sont dits quelque peu déçus par l’accueil qui serait, selon eux, d’une certaine froideur et aussi par la qualité d’une soi-disant collation qui laisse à désirer et dont on gratifie le donneur qui se présente à jeûne et qui estime être en droit d’attendre une « récompense ». Un état de fait qui n’est pas pour susciter l’enthousiasme chez les donneurs potentiels, dont certains estiment que le sang qu’ils donnent est d’une valeur inestimable et qu’ils ont donc besoin d’être mieux accueillis pour revenir et inciter d’autres citoyens à accomplir le geste.

Pour le centre, un prélèvement pourrait permettre de déceler une maladie plus ou moins grave que porte le donneur en toute ignorance. Le sang retiré des veines du donneur subit, en effet, une série d’analyses. Il doit être reconnu parfaitement sain et indemne de toute affection microbienne avant de recevoir le traitement permettant son stockage. Quoi qu’il en soit, selon nos sources, « le don de sang reste un geste qui mérite d’être généralisé au point de faire partie du comportement normal du citoyen. » Ce qui n’est, malheureusement, pas encore le cas.

A. Yacine

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