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Algérie Gynécologie : de nouveaux moyens contraceptifs présentés à Alger

El Moudjahid | Algérie | 16/12/2007 | Lire l'article original

Patch, pilule légère ou anneau vaginal sont les nouveaux moyens contraceptifs présentés, samedi, à Alger par le gynécologue belge Maurice Gaspard à l’occasion des troisièmes journées de gynécologie et des maladies obstétriques. Ces nouveaux moyens contraceptifs diffèrent des moyens traditionnels (stérilet et pilule classique) de par leur efficacité et les effets secondaires qu’ils présentent, a précisé M. Gaspard soulignant que les patchs peuvent être appliqués directement sur la peau, une méthode largement répandue aux USA alors que le recours à l’anneau vaginal connaît un franc succès en Europe. Ces deux procédés permettent "une meilleure distribution des hormones contrairement aux pilules classiques prises par voie orale", a-t-il ajouté avant de noter que le patch n’est changé qu’une fois par semaine et l’anneau vaginal une fois toutes les trois semaines.

Pour le gynécologue belge "ces nouveaux moyens contraceptifs présentent de légers effets secondaires et ne causent aucune coagulation du sang". Un autre procédé innovant consiste en l’implant de progestérone contraceptive pour une durée de trois années, les effets demeurent toutefois imprévisibles. "Ce nouveau type de pilules commercialisées sous le nom de marque "Yasmine" est composé d’une hormone naturelle qui travaille à éliminer l’eau et le sel et prévient des maladies cardio-vasculaires", a précisé M. Gaspard. De son coté, Dr Mouaki Benani du service néphrologie de Hôpital militaire de Ain Nâadja, a fait état de l’apparition d’une grosse varice au niveau des testicules chez 15% des patients, ce qui est de nature à altérer les spermatozoïdes causant la stérilité dans certains cas, voire le cancer. M. Mouaki a souligné l’importance d’un diagnostic précoce au niveau des unités de dépistage scolaire, des casernes ou chez les couples souffrant de stérilité.

Le spécialiste a, en outre, exposé les différentes techniques de traitement de cette maladie et d’amélioration de la procréation.
De son côté, le Dr Ben Mokhtar, du service gynécologie de l’hôpital militaire, a évoqué le problème du kyste ovarien qui touche 7 femmes sur 1.000 et les moyens de traitement de cette pathologie à savoir la chirurgie classique et la coeliochirurgie.

Selon le même spécialiste, le kyste ovarien ne constitue un danger pour la santé de la femme que si son volume dépasse 3 cm et dans ce cas il peut provoquer des perturbations du cycle menstruel et, dans certains cas, la stérilité.

Il a également relevé le succès des différentes techniques de traitement du kyste ovarien chez les jeunes filles et leur échec chez les femmes obèses et fumeuses.
Ces techniques conduisent, en général, à la grossesse avec un taux de 73 pc et au retour de la fertilité chez les 3/4 des femmes affectées.
Pour sa part, le Dr Braham Chaouche, de la clinique de procréation médicalement assistée d’El Biar, a conseillé d’éviter le recours, dans tous les cas, aux interventions chirurgicales pour l’ablation du kyste ovarien, car 25 % des cas ne représentent aucun danger pour la santé de la femme et de n’y recourir que si le kyste dépasse 4 cm.

Parmi les autres thèmes abordés par les participants, figurent le cancer du col de l’utérus, les maladies liées aux milieux hospitaliers et celles affectant les femmes ayant subi des césariennes.

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