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Algérie Journée nationale de pédiatrie : le vaccin contre l’hémophilus B en débat

El Moudjahid | Algérie | 15/12/2007 | Lire l'article original

Les spécialistes insistent sur l’autocontrôle régulier de glycémie, l’ajustement des doses d’insuline et le régime alimentaire dans la prise en charge des enfants atteints du diabète de type I. Le programme national de vaccination en vigueur en Algérie sera élargi à partir de 2008 avec l’introduction du vaccin contre l’hémophilus influenzae type B (HIb), première cause de méningites graves, c’est ce qu’a affirmé le professeur J P. Grangaud, responsable au ministère de la santé, lors de la journée nationale de pédiatrie organisée jeudi à l’hôtel El-Aurassi par la Société algérienne de pédiatrie (SAP). Avec un coût d’un milliard de dinars, les responsables de la santé en Algérie ont décidé, ainsi, d’enrayer l’“hémophilus B” qui est une bactérie entraînant des infections graves telles que les méningites, les pneumonies et les septicémies, qui peuvent provoquer l’handicap chez l’enfant de moins de 5 ans ou sa mort.

Dans son intervention portant sur les actualités du vaccin contre l’hémophilus B, le professeur Philippe Reinert, membre du comité technique des vaccinations en France, a affirmé que moins de 10% d’enfants à travers le monde sont immunisés contre cette bactérie qui provoque la mort de plus de trois millions d’enfants dans le monde.
«Ce vaccin qui est une révolution dans le domaine de la vaccination infantile a prouvé son efficacité depuis son introduction en France en 1990» soulignera le professeur Reinert, qui est également chef de service à l’Hôpital intercommunal de Créteil et d’ajouter que «les cas de méningites graves sont passés, grâce au vaccin, de 1000 enfants atteints durant les années 90 contre seulement 50 cas enregistrés ces dernières années». Il a, en outre, évoqué l’effet altruiste du vaccin qui a le pouvoir de protéger l’enfant vacciné et son entourage.

«Les enfants vaccinés protégent ceux qui ne le sont pas notamment au niveau des maternités et des crèches» dira-t-il. Dans ce sens l’intervenant a estimé qu’environ 3 à 5% des enfants sont porteurs de cette maladie au niveau des crèches avec une forte prévalence de transmission. Certes, le vaccin coûte très cher, a-t-il indiqué, mais «il est plus avantageux» que le traitement médicamenteux à base d’antibiotiques. A cet effet, il a insisté sur le préventif au lieu du curatif l’introduction de ce vaccin, d’autant que l’hémophilus B peut entraîner de maladies invalidantes plus chers dans sa prise en charge. Par ailleurs, l’obésité infantile a été un des thèmes débattus lors de cette rencontre qui a regroupé plus de 800 pédiatres venus du territoire national. Selon les spécialistes et intervenants, cette pathologie est devenue en quelques décennies un problème de santé publique aussi bien dans les pays industrialisés ou ceux en voie de développement. Causé généralement par la sédentarité, les spécialiste ont relevé l’importance de surveiller notamment l’alimentation et la durée d’exposition de l’enfant devant la télévision qui ne doit pas dépassé les 2 heures par jours. Prise en charge du diabète de type I chez l’enfant, un autre thème d’une grande importance était au centre chaud des débats au cours de cette journée de pédiatrie.

A ce propos, les intervenants ont souligné l’importance de surveiller et d’encadrer, l’adolescent diabétique pour prévenir le développement de complications et dépister à temps les maladies associées car, pour les spécialistes, l’autocontrôle régulier de glycémie et l’ajustement des doses d’insuline avec un bon régime donne généralement de bons résultats.

Pour sa part, le professeur Bensenouci Abdellatif, président de la SAP et chef de service de pédiatrie au CHU de Beni Messous, a indiqué que cette rencontre, qui est annuelle, regroupe les pédiatres privés et publics venus de toutes les wilayas pour confronter leurs connaissances et échanger leurs expériences dans le domaine de la pédiatrie. Notons que la séance d’inauguration a été l’occasion d’honorer et féliciter le Professeur Mostefa Keddari, éminent pédiatre algérien qui vient d’être élu membre "correspondant étranger" à l’Académie nationale française de Médecine (Paris).

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