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Algérie Colère des médecins résidents du CHUO

Le quotidien d'Oran | Algérie | 17/11/2007 | Lire l'article original

Les médecins résidents du CHUO montent au créneau. Un sit-in sera tenu, aujourd'hui, à l'INESM, en signe de protestation contre leur affectation aux gardes d'urgence médicales. Le problème dure depuis le mois de juin dernier et menace, affirment-ils, sérieusement la carrière de ceux qui ont refusé d'assurer les gardes dans les conditions qui se présentent actuellement. Selon les représentants de ces futurs spécialistes, «c'est aujourd'hui que la commission de discipline va se réunir pour statuer sur les cas des résidents marqués absents à leurs gardes suite à la liste affichée en ce mois de novembre, signée par le chef de service des urgences médicales». Ces derniers risquent une sanction du 3e degré, soit l'exclusion d'une année ou l'exclusion définitive, selon le décret exécutif n°96/149 du 27 avril 1996, portant statut du résident en sciences médicales, soulignent nos interlocuteurs, puisque un avertissement a déjà été adressé aux intéressés.

Les médecins résidents voient en cette affectation «une véritable entrave à leur formation spécialisée qui doit déboucher sur l'obtention du DEMS». Ils estiment, également, que «la corporation des spécialistes ne peut assurer cette fonction dans les UMC sans une préalable formation dans ce cadre car, affirment-ils, les urgences exigent de notre part une certaine compétence dans le domaine que certains médecins ne détiennent pas en raison de la spécialité à laquelle ils ont été affectés». Concernant la décision d'établir des listes incluant les résidents, les représentants des médecins indiquent qu'elle a été «élaborée sans aucune concertation ni accord préalable avec les chefs de service et les résidents concernés».

De plus, argumentent-ils, l'article 9 du décret suscité, «parle d'une participation aux gardes des UMC et non pas d'une activité qui doit être imposée à ce personnel médical». L'article repris par nos interlocuteurs stipule, en effet, que «dans le cadre de leurs programmes de formation, les résidents sont astreints à plein temps, sous la direction du corps enseignant et sous la responsabilité du chef de service à participer... aux activités de garde d'urgence et de service».

Dans le même contexte, les représentants des médecins expliquent que «les résidents demeurent des étudiants au vu de la loi. Ils n'ont ni le statut de travailleur, ni celui de fonctionnaire. Aucune réquisition ne peut, par conséquent, leur être appliquée».

Par B. Mokhtaria

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