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Algérie Amar Tou, à l’issue des travaux de AFROG IV. Cancer : création d’un service d’oncologie dans chaque hôpital général

El Moudjahid | Algérie | 04/11/2007 | Lire l'article original

“Au vu du nombre de plus en plus croissant de personnes atteintes du cancer, l’Etat a mis en place un programme d’urgence, dans lequel pas moins de huit hôpitaux spécialisés seront réalisés d’ici à la fin de l’année», c’est en substance, ce qu’a rappelé hier, le ministre de la Santé, M. Amar Tou, à l’issue des travaux de la 4e conférence du Groupe africain de radio-oncologie (AFROG IV), qui a réuni samedi dernier, à Alger un panel d’experts algériens et étrangers autour du thème "la gestion des cancers digestifs et du poumon en Afrique".

Cette rencontre scientifique de deux jours, qui s’est tenue au Centre de recherche nucléaire d’Alger (CRNA), a été l’occasion, comme l’a expliqué, M. Derdour Mohamed, le commissaire à l’énergie atomique, à évaluer et à comparer les méthodes et techniques nucléaires utilisées dans les pays africains dans le domaine de la lutte contre le cancer. Cette 4e conférence, organisée par le Groupe africain de radio-oncologie (AFROG), en collaboration avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), le Centre anticancéreux Pierre et Marie Curie (CPMC), le Commissariat à l’énergie atomique et le CRNA, a également été l’occasion de faire le point sur deux projets africains lancés dans le domaine de la gestion technique des cancers et celui des nouvelles technologies de la radiothérapie.

Et c’est justement pour évoquer ce domaine, que le ministre a mis en exergue, dans son discours de clôture, toutes les avancées réalisées par l’Algérie dans le domaine de la radiothérapie, notamment par l’acquisition d’équipements de pointe, tels que l’accélérateur linéaire d’électrons utilisé dans la radio chirurgie stéréotaxique, installé au centre anticancéreux de Blida. De ce fait, comme l’a souligné M. Tou, l’utilité de l’énergie nucléaire dans la santé publique — notamment, dans le cadre de l’ambitieux programme national de lutte contre le cancer — est non seulement indéniable, mais surtout «nécessaire», ceci d’autant que, selon lui, l’Algérie a connu ces dernières années une transition démographique, accompagnée elle-même d’une transition épidémiologique, qui a fait que, de 15%, de taux de mortalité enregistré en 1962, ce sont aujourd’hui pas moins de 60% des décès qui sont dus aux maladies non transmissibles.

Aussi, comme il l’affirmera, si le secteur de la santé en Algérie a connu, lui aussi, une avancée considérable, puisque l’espérance de vie est passée de 47 ans, en 1962, à plus de 76,2 ans «nous avons gagné presque 30 ans, en l’espace de quatre décennies», il n’en demeure pas moins que l’urgence de la réalisation de centres anti-cancéreux est devenue pressante, puisque les huit hôpitaux en cours de réalisation, d’une capacité de 150 lits chacun, ne sont pas suffisants pour résorber le déficit en la matière, «comme le réseau n’est pas suffisamment dense, nous avons prévu sept autres centres anti-cancéreux à travers le territoire, et cela pour répondre aux besoins de traitement de populations éloignés des centres de CHU», a-t-il annoncé, précisant le fait que, pour parer au plus pressé, son département a commencé à mettre en place des services d’oncologie au niveau des 240 hôpitaux généraux. 38 services ont d’ailleurs déjà été créés, selon Tou, qui préconise également la réalisation de prés de 180 autres hôpitaux généraux, pour faire face à la demande et à la croissance de la population.

Seule ombre noire au tableau, le manque de personnel qualifié pour les futures structures mises en place. En effet, comme le signalera M. Tou, la question des ressources humaines reste un handicap, puisque seuls 15 médecins spécialistes sont formés chaque année, d’où la nécessité de mettre en place une système de formation des corps médical et para médical, en supplément des récentes équipes installées à cet effet, à Oran et à Ouargla.

A propos de radio-oncologie

L’oncologie ou carcinologie ou cancérologie est la spécialité médicale d’étude, de diagnostic et de traitement des cancers. Un médecin qui pratique cette discipline est appelé oncologue ou cancérologue. Le terme vient du grec onkos, signifiant vrac, masse ou tumeur, et le suffixe -logie, signifiant «étude de».

Les technologues en radiologie travaillent dans trois champs d’activité distincts : la radiodiagnostic, la médecine nucléaire et la radio-oncologie. Ils utilisent des techniques ayant pour but de produire des images qui servent à établir un diagnostic dans le cas du radiodiagnostic et de la médecine nucléaire, ou qui ont pour but de traiter, pour la plupart, des personnes atteintes d’un cancer, comme c’est le cas de la radio-oncologie.

Leur rôle principal consiste à donner des traitements, à l’aide de radiations, à des patients pour la plupart atteints d’un cancer. Plus particulièrement, les technologues en radio-oncologie planifient le traitement et effectuent un examen appelé scanographie pour localiser avec précision la tumeur et les organes normaux qui l’entourent. Ils fabriquent, s’il y a lieu, des accessoires (masques et caches) destinés à protéger certaines parties du corps ou à maintenir une position stable pendant le traitement. Ils procèdent au marquage du champ de traitement sur la peau et aux tests permettant de calculer la dose et l’angle requis des radiations.

Les technologues en radio-oncologie s’occupent également, en cours de traitement, du fonctionnement des appareils et des instruments. Ils veillent à faire preuve de précision dans l’utilisation du matériel afin d’obtenir les meilleurs résultats. Ils travaillent dans les centres de traitement du cancer des centres hospitaliers.

Amel Z.

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