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Algérie Soixante pharmaciens avertis

Le quotidien d'Oran | Algérie | 28/10/2007 | Lire l'article original

Une soixantaine de pharmaciens d'officine implantés à travers la wilaya ont été destinataires de «décisions» d'avertissement établies par la direction de la Santé et de la Population, suite à un rapport de visite émanant de l'inspection générale du ministère dont les inspections ont permis d'établir, «l'absence à leur poste de travail» et relevé des irrégularités dans les officines qu'ils gèrent. A ce sujet, plusieurs d'entre eux ont exprimé leur colère, à l'occasion de l'assemblée générale pour le renouvellement du bureau de wilaya de la SNAPO, tenue jeudi au palais de la culture Malek Haddad en protestant énergiquement contre cette sanction qui, selon eux, découle d'une inspection menée par des médecins et non des pharmaciens, donc «contraire à la loi, abusive et portant atteinte à notre intégrité», selon leurs propres termes.

Par conséquent, ils ont demandé l'annulation pure et simple de ces décisions. Commentant cette mesure disciplinaire, M. Henni, président du bureau sortant, dira que «les règles d'usage en la matière n'ont pas été respectées. D'ordinaire, il y a une convocation et une mise en demeure et la sanction n'intervient qu'en dernière instance. Et puis on ne sait pas ce que signifie ‘absence de son poste de travail'. La loi permet au pharmacien de s'absenter, dans le cadre de la gestion courante de l'officine, pour aller à la banque, à la CNAS, etc. D'autre part, nous avons reçu plusieurs requêtes de pharmaciens affirmant n'avoir reçu aucune visite d'inspection, ce qui est quand même étonnant !».

Au niveau de la direction de la Santé et de la Population de Constantine, c'est un autre son de cloche. Selon le DSP, M. Damache, les décisions de sanctions contre la soixantaine de pharmaciens «ont été établies par mes services sur rapport qui nous est parvenu de l'Inspection générale du ministère». Et de souligner: «L'opération avait touché plus de 15O pharmacies et les défections constatées ne se situaient pas uniquement au niveau de l'absence physique du pharmacien de son officine mais au niveau du stockage des médicaments, de la qualité de l'achalandage, de l'absence d'armoire spécifique pour les psychotropes, etc. Pour revenir à l'absence du lieu de travail, il n'est pas normal qu'un pharmacien se déplace pour une durée relativement longue afin de régler ses problèmes de gestion alors qu'il pourrait déléguer ces démarches au vendeur car la réglementation l'oblige à être dans sa pharmacie pour recevoir et conseiller les clients».

Faisant la part des choses, le DSP, tout en précisant qu'il y a «beaucoup de pharmaciens honorables qui font leur travail conformément à la réglementation en vigueur», pense qu'il importe de séparer le bon grain de l'ivraie et, à cet égard, il n'a pas omis de signaler le cas de pharmaciens qui possèdent des officines à Constantine alors qu'ils n'y résident même pas. C'est dire que le secteur doit être assaini. «En tant que responsables de la santé du citoyen, précise M. Damache, nous sommes placés devant un choix : ou laisser les choses comme elles sont, ou jouer notre rôle en instituant un contrôle permanent pour débusquer toutes les infractions à la réglementation».

«Pour ce cas d'espèce, précise le responsable de la santé au niveau de la wilaya, il y a eu un double contrôle : le premier mené par l'inspection générale au niveau du ministère et le second par la DSP, et les inspections effectuées ont, malheureusement, relevé des récidives de la part de certains pharmaciens, toujours les mêmes, qui s'obstinent à déroger à la réglementation. Au départ, c'était une centaine de pharmaciens qui devaient être sanctionnés, mais nous n'avons retenu, en fin de compte, que soixante, les quarante autres ayant réglé leurs problèmes entre-temps».

Par A. Mallem

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