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Algérie Hôpital de Larbâa Nath Irathen : « Le malade a faim… »

El Watan | Algérie | 24/10/2007 | Lire l'article original

L’administration du secteur sanitaire de Larbâa Nath Irathen s’est lancée ces dernières semaines dans une véritable guerre contre le panier ou le sac alimentaire destiné à la restauration des hospitalisés. Inscrite dans une logique d’application « rigoureuse » d’une récente circulaire ministérielle rendant la nourriture du malade du ressort exclusif de la structure d’hospitalisation, l’administration en question a mis en état d’alerte maximale son service de gardiennage et de sécurité pour ne laisser « s’infiltrer » à l’intérieur de l’hôpital, voire au service des urgences, aucun produit alimentaire par les parents des malades. Ainsi, chaque jour que Dieu fait, les agents en fonction se livrent à d’interminables faces à face avec les visiteurs et les familles sous peine d’être « sévèrement sanctionnés » comme l’indique clairement une note administrative.

En effet, l’empêchement en période de jeûne d’introduire pour un malade une nourriture jugée saine a causé à maintes reprises des réactions à la limite de l’hostilité chez les parents. Ces derniers ont aujourd’hui encore du mal à accepter que leurs malades soient nourris par le « menu » que propose l’hôpital. Même si la variété des plats ou les quantités n’est pas contestée par les familles ou les malades, la qualité de la « bouffe » laisse à désirer, estime-t-on. Au fait, personne ne reconnaît une préparation professionnelle du plat offert dans cet hôpital. Par ailleurs, à cette nourriture immangeable s’ajoute une mesure d’interdiction des visites de soirée durant le mois de Ramadhan dernier.

En plus de cela, l’administration du même hôpital a décidé, toujours « conformément » à une instruction ministérielle, d’interdire les gardes malades des services d’hospitalisation, une mesure jugée inhumaine par des patients infirmes ou cancéreux en fin de vie qui n’ont personne pour parer à leurs besoins. Cela est vrai, puisque ce personnel paramédical a déjà du mal à assurer le volet des soins par manque d’effectifs et le même handicap frappe les agents polyvalents qui ne peuvent pas répondre à ces besoins en permanence. En un mot, qu’il s’agisse d’appliquer un texte réglementaire ou pas, dans cet hôpital bien connu par le passé pour son niveau de prestation, la mesure n’apporte strictement rien à un malade qui se sent seul et qui a faim.

Mohand Moakli

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