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Algérie Le danger vert plane : Les malades chroniques, premières victimes

El Watan | Algérie | 30/07/2007 | Lire l'article original

Les cas d’empoisonnement par les plantes représentent un véritable cauchemar pour les médecins, notamment ceux du service des urgences. Il ne se passe pas en effet un jour, sans que des alertes sérieuses ne soient enregistrées à travers les structures hospitalières du pays. « Pour la seule année en cours, le centre antipoison de l’hôpital Mustapha d’Alger, à lui seul, a reçu 1007 appels de personnes incommodées après l’absorption d’un liquide d’une plante ou de la plante elle-même, sur un total de 28 000 coups de fils », nous dira un médecin du CHU de Constantine, étonné d’ailleurs que les gens de l’intérieur du pays connaisssent le numéro du centre antipoison de la capitale et non celui de leur localité.

Ceci étant, il faut savoir que le centre antipoison de l’hôpital Mustapha est habilité à recevoir des appels de n’importe quelle région du pays et qu’il s’empresse de répercuter l’urgence vers le centre de santé ou le médecin le plus proche du lieu de l’accident. Du moins en théorie. Pour revenir à notre sujet, notre interlocuteur mettra l’accent sur le danger réel que représente le fait d’ingérer une plante ou de l’adopter comme médicament, sans avis d’un spécialiste. L’alfa, par exemple, est utilisé depuis peu comme produit de beauté, alors qu’il n’a aucune vertu de joliesse, et provoque au contraire des lésions cutanées. Le chardon à glu, une colle naturelle que les gosses utilisaient autrefois pour capturer des oiseaux est devenu un… chewing-gum sucré très apprécié par des gamins insouciants du danger très souvent mortel qui accompagne la mastication de cette plante. Mais le comble de la bêtise a été atteint avec le fabago ou zygophylle, plus connu dans certaines régions par l’âgaya, une plante censée traiter le diabète ! Tout simplement.

Cette plante qui fait fureur depuis peu est vantée par des chaînes arabes satellitaires et orne depuis les étals des phytobiologistes improvisés. « Plusieurs personnes lassées par des années de traitement de leur pathologie ont cru trouver une certaine liberté avec l’âgaya. Malheureusement, plusieurs d’entre-elles se retrouvèrent dans un coma dû à une hyperglycémie ou tout simplement la mort. Nous recommandons la plus grande vigilance des diabétiques qui ne doivent en aucun cas arrêter leur traitement classique, car aucune plante actuellement n’est en mesure de supplanter les médicaments chimiques » ajoutera notre interlocuteur. En cas d’ingérence d’un produit qui s’avérera nuisible, l’urgence est d’appeler le 021 97 98 98, le centre anti poison, qui vous prendra en charge.

Hamid Bellagha

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