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Algérie Les dialysés protestent

Le quotidien d'Oran | Algérie | 11/06/2007 | Lire l'article original

Les malades hémodialysés ont protesté, hier, au siège de la Caisse nationale d'assurance sociale (CNAS), suite à la décision de cette institution de réduire les subventions destinées au transport de ces malades chroniques. Le transport des hémodialysés était assuré, depuis juillet dernier, par des chauffeurs de taxis qui prenaient en charge le déplacement des malades de leurs domiciles aux centres d'hémodialyse. La CNAS payait les factures des chauffeurs de taxis à raison de quatre rotations pour chaque déplacement du malade.

«Nous avons des malades qui résident dans des localités reculées d'Oran comme à El-Hamoul et qui ont besoin de transport pour se rendre, trois fois par semaine, aux séances de dialyse. Les chauffeurs de taxis demandent le payement de chaque déplacement à raison de quatre rotations, puisqu'ils sont obligés de faire un aller-retour vide pour se rendre et revenir de ces localités reculées. Le déplacement est calculé à 10,50 DA le kilomètre, ce qui est un prix raisonnable par rapport aux tarifs pratiqués, actuellement, par les taxis», explique le président de l'association des insuffisants rénaux de la wilaya d'Oran.

Et d'enchaîner: «nous avons tenu une réunion, en juillet dernier, avec le directeur de la CNAS d'Oran qui s'est engagé à régler les frais de transport de ces malades, mais nous avons été surpris, récemment, par la réduction de moitié du nombre des rotations payées». En avril 2007, la DG de la CNAS a, en effet, décidé de réduire le nombre des rotations pour chaque déplacement à seulement deux, ce qui a été contesté par les chauffeurs de taxis. Une situation qui risque de pénaliser les hémodialysés habitant dans des zones reculées de la wilaya.

«Le transport n'est pas un luxe, mais c'est un besoin vital pour ces malades chroniques qui sont épuisés et souffrent de chutes de tension, de maux de tête et même d'asthénie après chaque séance de dialyse», martèle notre interlocuteur. Il ajoute qu'une réunion avait été tenue, dimanche dernier, avec le directeur de la CNAS d'Oran qui s'est engagé à prendre en charge trois rotations pour les malades résidant dans les zones reculées, mais depuis rien n'a été fait dans ce sens.

Devant cet état de fait, les 497 insuffisants rénaux proposent que la CNAS verse une somme forfaitaire aux chauffeurs de taxis ou, mieux, qu'elle s'engage à prendre en charge, directement, le transport des malades à travers la location d'ambulances ou de véhicules. Il est à noter que nous avons essayé de contacter le directeur de la CNAS d'Oran, mais, selon sa secrétaire, il était en réunion de travail.

Par Sofiane M.

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