Revue de presse

Le ministre de la Santé a réitéré l'engagement de l'État en matière de santé et sa détermination à assurer une «meilleure» prise en charge au malade.
S’exprimant, jeudi, lors d’une conférence organisée à Alger, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la santé, célébrée le 7 avril, Abdelhak Saihi a confié qu’un budget conséquent est alloué à la santé annuellement, et mis en exergue les importants projets et les programmes lancés dans le cadre de la mise en œuvre des engagements du Président.

Il réaffirmera par ailleurs la volonté de l’Algérie de mobiliser tous les moyens disponibles pour la prise en charge des projets à l’horizon 2030.

Le ministre a évoqué, dans ce contexte, les importants projets de réalisation d’hôpitaux spécialisés et de nouveaux pôles dans le Sud et dans les régions éloignées pour mieux répondre aux besoins des malades en matière de soins de santé spécialisés. Il a également mis l’accent sur les grands axes du plan d'action du malade qui se base, selon ses termes, sur le plus qu'il peut apporter dans la prise en charge du patient et qui prend en considération tous les volets, que ce soit curatif, préventif ou de formation et en matière de prise en charge des préoccupations des professionnels de la santé. Saihi a fait état, par ailleurs, de l’actualisation des différents programmes de prévention au nombre de 20, en vue d’éliminer tout ce qui peut constituer une menace pour la santé du citoyen algérien et rappelé que l'Algérie a consacré dans sa Constitution le droit à la santé et instauré la gratuité des soins à tous comme principe de base en vue de garantir l’accès équitable aux soins de santé». Évoquant les différentes étapes historiques, il a relevé les réalisations enregistrées par notre pays depuis l'indépendance à ce jour dans le domaine de la santé, ayant conduit à une évolution remarquable de l'espérance de vie moyenne, passée de moins de 50 ans après l'indépendance à plus de 78 ans actuellement.

En matière d’infrastructures, il a confié que l'Algérie compte aujourd’hui plus de 700 structures et précisé que leur nombre se comptait sur les doigts d’une seule main au lendemain de l’indépendance.

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