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Algérie Le casse-tête des pharmaciens à Oum El Bouaghi

El Watan | Algérie | 04/04/2007 | Lire l'article original

Que faire des stocks de médicaments périmés quand on ne dispose pas d’un incinérateur industriel ? De nombreux pharmaciens n’arrivent pas à se débarrasser de grands stocks de produits pharmaceutiques périmés, ce qui pose un énorme problème tant les risques sur l’environnement sont latents. En effet, les médicaments étant des produits chimiques, ne peuvent être jetés dans les décharges publiques.

Tout comme les déchets industriels, les médicaments périmés appartiennent à la catégorie des déchets spéciaux et de ce fait doivent être incinérés dans des incinérateurs industriels à la charge du client, autrement dit du pharmacien. Dans certains cas, les propriétaires d’officines ont recours à un incinérateur de fortune, entre autres des demi-fûts, pour détruire les médicaments périmés. Les cendres sont recueillies par la suite et jetées à la décharge publique. Mais cette solution ne semble pas convenable, attendu que les fumées dégagées au cours de l’incinération sont nocives. Par ailleurs, l’article 10 de l’arrêt 3/478 du 9 décembre 2003 interdit la destruction conventionnelle étant entendu que les médicaments périmés entrent dans la catégorie des produits toxiques.

Que faire donc quand les 150 pharmaciens ne trouvent pas où incinérer les produits périmés et invendus ? Continueront-ils à stocker les médicaments ? Mais jusqu’à quand ? Selon le directeur de l’environnement, M.Khelloufi, la wilaya va acquérir un incinérateur industriel sous peu, ce qui permettra aux 150 officines réparties sur le territoire de la wilaya de se débarrasser des médicaments dont la date d’emploi est parvenue à son terme. Il reste que ledit projet verra sa concrétisation en dehors du tissu urbain, en raison des fumées hautement toxiques qui risqueraient de s’en dégager. D’autre part, M.Khelloufi nous informe que deux cliniques privées, l’une implantée à Aïn M’lila et la deuxième à Aïn Beïda, ont formulé l’intention d’acquérir des incinérateurs.

Voilà qui contribuera à la destruction systématique des déchets hospitaliers. Il reste néanmoins qu’il est impérieux de sensibiliser les citoyens, notamment en ce qui concerne les médicaments dont ils se débarrassent de façon inconsciente, faisant encourir de gros risques, et aux personneset à l’environnement.

L. Baâziz

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