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Algérie Epidémie de choléra : 97 cas confirmés dont 51 à Blida

El Watan | Algérie | 10/09/2018 | Lire l'article original

Un mois, jour pour jour, après l’apparition des premiers cas de choléra à travers les 4 wilayas du pays : Bouira, Alger, Blida et Tipasa, dont deux décès, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a comptabilisé 97 cas confirmés, dont les deux derniers sont enregistrés à Aïn Taya et à Oran.

Les résultats des prélèvements confirment donc la contamination par le vibrion cholérique d’un homme âgé de 85 ans, transféré de l’hôpital de Aïn Taya au service des maladies infectieuses à l’hôpital El Kettar et d’un deuxième cas, un patient hospitalisé au service de psychiatrie à Oran, a affirmé le Dr Djamel Fourar, directeur général de la prévention au ministère de la Santé. « L’enquête épidémiologique est toujours en cours auprès des familles et de l’entourage de ces patients pour identifier l’origine de la contamination.

Des investigations sont également lacées dans la wilaya de Tiaret où le patient de Aïn Taya avait rendu visite, il y a quelques jours, à une famille de nomades », nous confie le Dr Fourar qui n’exclut pas l’apparition de nouveaux cas sporadiques et isolés, bien que « nous considérons que c’est la fin de l’épidémie et la wilaya de Blida, où la maladie est circonscrite et qui comptabilise 51 cas confirmés, n’a enregistré aucun cas durant ces 5 derniers jours.

Les derniers malades atteints de choléra ont quitté vendredi l’hôpital de Boufarik », a-t-il indiqué, tout en précisant que le dispositif de veille est toujours maintenu au niveau des 48 wilayas avec un degré de vigilance plus important, et ce, jusqu’à « l’extinction totale » de l’épidémie. Le Dr Fourar a rappelé que « toutes les dispositions pour le traitement de l’oued de Beni Azza, dans la wilaya de Blida, où le vibrion cholérique Ogawa a été identifié dans ce cours d’eau, ont été prises, en collaboration avec les secteurs concernés, afin d’éviter l’apparition d’autres cas ».

A la question de savoir comment l’eau de cet oued serait à l’origine de cette épidémie, puisqu’elle n’est pas consommée, le directeur de la prévention explique : « Par exemple, des enfants jouant aux abords de cet oued peuvent être contaminés et ainsi ils infectent tous les membres de la famille. »

Tout en se félicitant de la régression du nombre de cas de choléra, le Dr Fourar rappelle que le comité national de lutte contre les maladies à transmission hydrique, présidé par le ministère de l’Intérieur, a du pain sur la planche. Le maintien du dispositif de veille doit être accompagné d’une mobilisation des différents secteurs pour assurer la salubrité des milieux de vie.

A noter que la réémergence de la maladie a suscité colère et inquiétudes des spécialistes qui estiment le déclenchement du dispositif de veille et de surveillances a été tardif, alors qu’ « il est recommandé devant toute suspicion de choléra de se préparer à déclencher l’alerte dès la confirmation du premier cas pour circonscrire la maladie, car on n’éradique pas le choléra, on l’arrête.

Le ministère de la Santé a malheureusement mis trop de temps pour nommer clairement ce qu’il a considéré comme une toxi-infection alimentaire », regrette un spécialiste des maladies infectieuses, estimant que cet épisode est une bonne leçon pour agir en amont.

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