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Maroc Hôpital psychiatrique de Berrechid : Manque cruel de médicaments neuroleptiques

Albayane | Maroc | 20/11/2006 | Lire l'article original

Depuis plus de deux mois, rien ne va plus à l’hôpital psychiatrique de Berrechid malgré les efforts déployés par le personnel de santé. Les malades psychiques subissent un nouveau calvaire, après celui dû à la mauvaise alimentation qui, heureusement, a été corrigée, provisoirement, en exigeant du nouveau traiteur un strict minimum.

Les médicaments neuroleptiques font cruellement défaut. A Berrechid, comme dans les unités ambulatoires d’hygiène mentale, la santé publique ne dispose plus de stocks et ce depuis au moins deux mois. La direction de l’hôpital affirme avoir fait son devoir administratif, en saisisant la délégation du Ministère de la santé, qui, à son tour, dit avoir fait son devoir sans succès.

Aujourd’hui, les choses s’aggravent à cause de cette pénurie de médicaments, tout particulièrement celle de trois des neuroleptiques tels que le Nozinon, Largactil, Modécate. On devine aisément les souffrances supplémentaires de quelques centaines de malades appelés, malgré eux, à subir un sevrage forcé et sans suivi approprié. Seuls les malades, dont les familles effectuant encore des visites, peuvent « se débrouiller » pour se procurer ces médicaments, qui sont pourtant commercialisés dans les pharmacies.

A l’hôpital, ce sont des scènes indescriptibles, de grandes souffrances, que vivent « ces fous » laissés pour comptes.
Les conséquences de la non prise de ces médicaments pour les malades suivis en ambulatoire provoquera des rechutes et mettra en danger leurs vies, celles de leurs familles et peut aussi être présenté quelques dangers pour le public.

Le ministère de la Santé consacre son budget à différentes pathologies. Le secteur psychiatrique doit avoir son droit.
Au moins un stock d’une année de ces produits devait être garanti pour éviter un désordre public.
Il est temps de penser à ces malades déshérités de leur droit à la santé mentale. C’est pourquoi il faudra agir et agir vite pour sauver la situation avant que des malheurs ne se produisent.

Mais déjà, les bienfaiteurs, la société civile, les associations humanitaires, les droits de l’Homme doivent se mobiliser, chacune dans son volet afin d’apporter le soutien à cette frange de malades spécifiques.

Khalid Kendil

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